Que sont-ils devenus ? La limitation de vitesse, rembarrée dans plusieurs départements, a été sacrifiée par opportunisme politique.
Que sont-ils devenus ? La limitation de vitesse, rembarrée dans plusieurs départements, a été sacrifiée par opportunisme politique.
Un maire réélu pour un sixième mandat ; des familles qui se baladent tranquillement : jour d’élection dans l’Yonne, sous coronavirus.
La maison de santé, les conteneurs à verre, le marché du jeudi… C’était soir de meeting pour le maire de ce bourg de l’Yonne.
L’État favorise les communautés de communes aux dépens des petites mairies : dans l’Yonne comme ailleurs, leurs élus sont satellisés.
Faute de volontaires, le maire de Courson, petit bourg de l’Yonne, se présente pour la sixième fois. Le mandat d’une vie.
Courson, Hayange, Paris. Un village, une mairie d’extrême droite, une capitale : « Les Jours » entrent dans la course des municipales.
Bons chiffres à l’appui, le Premier ministre défend la limitation de vitesse que Macron pourrait sacrifier aux gilets jaunes.
Après les 80 km/h, c’est le prix de l’essence qui exaspère, les gilets jaunes comme les autres. Un bon créneau pour l’électrique ?
En 1999, Julien Verheyde a réchappé d’un accident dans l’Yonne. Comme son père, son frère et son cousin, il aimait rouler vite.
Il y a 45 ans, sous le coup d’une hécatombe routière et du choc pétrolier, la France découvrait sa première limitation de vitesse.
Toujours à fond sur les enjeux routiers, la droite et l’extrême droite exploitent le rejet de la nouvelle limite de vitesse.
Dans l’Yonne, la nouvelle limitation de vitesse crispe les habitants, qui y voient un nouveau signe d’abandon de l’État.
Contre les 80 km/h, les automobilistes de l’Yonne formulent toujours les mêmes objections. « Les Jours » les passent au banc d’essai.