Raffinerie Total, papeterie… Syndicalistes et écolos inventent ensemble un futur où la transition crée des emplois. Pas le contraire.
Son rôle dans la série.
Joyeux anniversaire, la grippe espagnole ! Entre septembre 1918 et juin 1919, 50 millions de personnes en sont mortes en Chine, en Europe, en Amérique du Nord… Si un virus équivalent devait frapper aujourd’hui, notre vaccin saisonnier le tuerait dans l’œuf ou presque, n’est-ce pas ? Pas si sûr, a répondu une équipe de statisticiens américains de l’Institute for Disease Modeling. Selon eux, en six mois, on compterait tout de même 33 millions de morts sur tous les continents. Impossible en effet de produire suffisamment de vaccins en si peu de temps. Coupables aussi, les déplacements incessants, notamment par avion, de cette bonne vieille espèce humaine. De quoi craindre une attaque bioterroriste mondiale dans les dix ou quinze ans, comme le redoute Bill Gates ? Difficile à dire. En revanche, qu’une pandémie – la propagation mondiale d’une nouvelle maladie, selon la définition de l’Organisation mondiale de la santé – touche le globe, c’est envisageable, les exemples récents du Sras (2003), des grippes H5N1 (depuis 2003) et H1N1 (depuis 2009), d’Ebola et, évidemment, du coronavirus (Covid-19), sont là pour en témoigner. Sommes-nous préparés ? Euh… Il faudrait déjà arriver à reconnaître une pandémie quand elle apparaît.
Par François Meurisse
Son rôle dans la série.
Joyeux anniversaire, la grippe espagnole ! Entre septembre 1918 et juin 1919, 50 millions de personnes en sont mortes en Chine, en Europe, en Amérique du Nord… Si un virus équivalent devait frapper aujourd’hui, notre vaccin saisonnier le tuerait dans l’œuf ou presque, n’est-ce pas ? Pas si sûr, a répondu une équipe de statisticiens américains de l’Institute for Disease Modeling. Selon eux, en six mois, on compterait tout de même 33 millions de morts sur tous les continents. Impossible en effet de produire suffisamment de vaccins en si peu de temps. Coupables aussi, les déplacements incessants, notamment par avion, de cette bonne vieille espèce humaine. De quoi craindre une attaque bioterroriste mondiale dans les dix ou quinze ans, comme le redoute Bill Gates ? Difficile à dire. En revanche, qu’une pandémie – la propagation mondiale d’une nouvelle maladie, selon la définition de l’Organisation mondiale de la santé – touche le globe, c’est envisageable, les exemples récents du Sras (2003), des grippes H5N1 (depuis 2003) et H1N1 (depuis 2009), d’Ebola et, évidemment, du coronavirus (Covid-19), sont là pour en témoigner. Sommes-nous préparés ? Euh… Il faudrait déjà arriver à reconnaître une pandémie quand elle apparaît.
Par François Meurisse
Son rôle dans la série.
Joyeux anniversaire, la grippe espagnole ! Entre septembre 1918 et juin 1919, 50 millions de personnes en sont mortes en Chine, en Europe, en Amérique du Nord… Si un virus équivalent devait frapper aujourd’hui, notre vaccin saisonnier le tuerait dans l’œuf ou presque, n’est-ce pas ? Pas si sûr, a répondu une équipe de statisticiens américains de l’Institute for Disease Modeling. Selon eux, en six mois, on compterait tout de même 33 millions de morts sur tous les continents. Impossible en effet de produire suffisamment de vaccins en si peu de temps. Coupables aussi, les déplacements incessants, notamment par avion, de cette bonne vieille espèce humaine. De quoi craindre une attaque bioterroriste mondiale dans les dix ou quinze ans, comme le redoute Bill Gates ? Difficile à dire. En revanche, qu’une pandémie – la propagation mondiale d’une nouvelle maladie, selon la définition de l’Organisation mondiale de la santé – touche le globe, c’est envisageable, les exemples récents du Sras (2003), des grippes H5N1 (depuis 2003) et H1N1 (depuis 2009), d’Ebola et, évidemment, du coronavirus (Covid-19), sont là pour en témoigner. Sommes-nous préparés ? Euh… Il faudrait déjà arriver à reconnaître une pandémie quand elle apparaît.
Par François Meurisse
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Fin du monde. Chaque midi, « Les Jours » vous offrent une mauvaise nouvelle. Aujourd’hui, un tueur de masse.
Fin du monde. Chaque midi, « Les Jours » vous offrent une mauvaise nouvelle. Aujourd’hui, la pandémie en Afrique.
Fin du monde. Chaque vendredi midi, « Les Jours » vous parlent effondrement et culture. Aujourd’hui, un roman d’Emily St. John Mandel.
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