Émoi dans la milliardosphère française. Alors qu’il a mis au pas le mag racheté à Lagardère, Bolloré va le revendre au boss de LVMH. Mais pourquoi ?
Émoi dans la milliardosphère française. Alors qu’il a mis au pas le mag racheté à Lagardère, Bolloré va le revendre au boss de LVMH. Mais pourquoi ?
Désormais détenu par Vincent Bolloré, le journal sera dirigé par l’ancien de « Valeurs actuelles ». La rédaction a illico voté la grève.
L’OPA de Vivendi a fini par être validée ce vendredi par la Commission européenne. L’épilogue d’un feuilleton sanglant.
Afin d’apaiser Bruxelles, l’actionnaire choisit de mettre en vente le magazine people pour conserver « Paris Match », déjà sous son emprise.
Une élue de la Société des journalistes qui défend l’indépendance du journal est en passe d’être virée. Du pur Bolloré.
Pour faire passer l’OPA sur Lagardère à Bruxelles, Vivendi entre en négociations exclusives avec le milliardaire pour 100 % de l’éditeur.
La Commission européenne s’oppose en l’état au rachat de Lagardère par Vivendi qui « entrave » la concurrence dans l’édition et le people.
Info « Les Jours ». L’ancien ministre va participer à un colloque du lobby des semenciers qui cherche à revoir la définition des OGM.
Pour vendre ses systèmes de surveillance aux confins de l’UE, le géant use de son influence. Indirectement, discrètement, efficacement.
Avec ou sans accord ? Fin juillet ou fin décembre ? Covid oblige, la bataille se joue en sourdine, mais le divorce sera signé en 2020.
Un rapport dévoile comment ils se sont cachés derrière le Covid pour pousser leurs intérêts auprès des décideurs, de Paris à Bruxelles.
De Bruxelles à Paris, industriels en tous genres instrumentalisent la crise pour exiger le report des nouvelles normes.
L’agrochimie refuse de durcir les tests pour protéger les abeilles. Mais son lobbying a été largement rejeté au Parlement ce mercredi.
Minée par les conflits d’intérêts, la candidature de la Française à la Commission européenne a été bloquée par les eurodéputés.
Voté par les députés, l’accord de libre-échange avec le Canada est le fruit d’un travail de pression des grands groupes entamé en 1998.
Les eurodéputés, fraîchement élus, viennent à peine de se mettre au travail que déjà, les groupes d’influence sont à la manœuvre.
De Monsanto aux agriculteurs, de puissants groupes d’influence ont pesé sur le vote européen en faveur du pesticide.
La Commission européenne, terre promise des lobbyistes, fait passer les intérêts des industriels avant ceux des consommateurs.