La peine prononcée en première instance a été confirmée : trois ans de prison dont un ferme. Une condamnation inédite pour un ex-Président.
La peine prononcée en première instance a été confirmée : trois ans de prison dont un ferme. Une condamnation inédite pour un ex-Président.
Au menu : arrêt dans l’affaire Bismuth, procès en appel Bygmalion et décision sur le renvoi devant un tribunal des financements libyens…
Trois ans de prison avec sursis ont été requis en appel contre Nicolas Sarkozy. Loin de la peine infligée en première instance.
Interrogé sur les écoutes, l’ex-Président, agacé et véhément, a nié en bloc tout pacte de corruption. Devant une cour dubitative.
Ce mardi, les écoutes Sarkozy-Herzog ont été diffusées pour la première fois. Notamment celle où le pacte de corruption présumé se dessine…
Empêtré dans les affaires, l’ex-Président multiplie les prises de parole hostiles à la justice. Une stratégie qui se révèle contreproductive.
L’ex-Président est condamné à trois ans de prison, dont un ferme. Un jugement historique. Il va faire appel.
Pas de corruption, pas de trafic d’influence, juste de l’amitié : les avocats des prévenus ont balayé toutes les accusations.
Pendant plus de quatre heures, le parquet a chargé l’ex-Président et ses deux coprévenus. Il a requis quatre ans de prison, dont deux ferme.
Au procès des écoutes, l’ex-Président, fidèle à lui-même et à son ego, s’est défendu en bloc de tout ce dont il est accusé.
Gilbert Azibert ? Captivé par des points de droit. Thierry Herzog ? Dingue de procédure pénale. Les prévenus réfutent toute corruption.