Reboostés cet été, les socialistes assument être mauvais en com et ne penser qu’au fond. Mais n’ont ni spin doctors officiels, ni programme, ni candidat.
Journaliste formée sur les ondes des radios locales de Radio France, je navigue entre la presse écrite et la radio, sur des thématiques souvent liées à la politique, à la ville et aux évolutions de la société. J’ai mené des enquêtes pour l’émission Secrets d’info sur France inter, sur le lobbying en politique, les dérives du crédit impôt recherche, ou encore sur le manque de cadre légal pour ce nouveau métier d’influenceur qui émerge. J’écris aussi des récits pour l’émission Affaires sensibles, généralement sur des thèmes politiques. Enfin, je peux m’offrir quelques récréations en publiant des guides touristiques, dont le dernier en date vous propose des balades à vélo autour de Paris !
Reboostés cet été, les socialistes assument être mauvais en com et ne penser qu’au fond. Mais n’ont ni spin doctors officiels, ni programme, ni candidat.
Ses conseillers en communication s’échinent à « dédiaboliser » le parti d’extrême droite. Au point d’en faire aujourd’hui l’arbitre du jeu politique.
Alors que la présidentielle de 2027 s’accélère, « Les Jours » enquêtent sur les conseillers qui façonnent l’image des candidats.
Plateformes et créateurs de contenu ont bien compris comment fidéliser les jeunes et leur soutirer de l’argent. Exemple avec les « matchs » TikTok…
Le cas Berdah (2/2). Le rappeur a ciblé la « papesse des influenceurs » et laissé ses « pirates » se déchaîner. La lutte contre les arnaques a bon dos.
Le cas Berdah (1/2). La téléréalité, l’argent, les erreurs, le mépris… En France, la patronne de l’agence Shauna Events fait figure de pionnière.
Leurs vies surexposées et leurs millions d’abonnés remplissent les poches de leurs parents : une loi veut protéger les enfants influenceurs.
La relation entre les créateurs de contenu et leur communauté est un équilibre fragile, chronophage et qui peut vite devenir toxique.
Les influenceurs ont beau être leurs propres chefs, ils ont des comptes à rendre à d’autres : marques, agents, abonnés et algorithmes.
Faire de son hobby sur les réseaux un travail rémunéré, c’est le rêve de beaucoup. Mais parfois, les marques tordent le bras des passionnés.
Des investigations qui prennent du temps, des agents des fraudes en sous-effectif : la loi ne va pas être simple à appliquer.
Déjà cantonnées aux pubs de seconde zone, ces stars des réseaux ont été totalement écartées de la fabrique de la loi. Une logique classiste.
Pub, alcool, filtres, chirurgie esthétique : le texte voté à l’Assemblée nationale veut encadrer les dérives des réseaux sociaux.
Kookoo les Jouristas, un super plan cette semaine : une proposition de loi pour lutter contre les dérives du secteur💰❤️💋
Comme dans une secte, les recrues des formations de trading sont endoctrinées. S’en échapper et se reconstruire est incroyablement dur.
À Dubaï, les leaders des formations de trading mènent la grande vie et échappent à l’État français : champagne, Rolls-Royce et… zéro fisc.
Certaines sociétés se réclament du marketing multiniveau pour cacher leurs activités de vente pyramidale, pratique interdite en France.
Manipulation mentale, rupture avec l’entourage… Les « communautés d’éducation financière » ont tout du mouvement sectaire, gourous compris.
Au mieux, les jeunes recrues de ces formations en carton acquièrent du vocabulaire financier. Au pire, elles perdent tout.
Malgré leur vitrine, les groupes pyramidaux ne forment pas au trading : ils piègent des étudiants pour qu’ils recrutent à leur tour.