Le 31 mars 2004, le jeune homme de 18 ans disparaît. Vingt ans plus tard, son père et son beau-père cherchent inlassablement la vérité.
Né à Nancy en 1980, je suis photoreporter indépendant. En 2000, je découvre la photographie lors d’un voyage en Espagne. Dès lors, mon regard se dirige vers la photographie d’actualité et j’entame une collaboration régulière avec L’Est républicain jusqu’en 2014. En 2015, je rejoins l’association de photographes indépendants Divergence-images. Je collabore notamment avec Le Monde, Libération, Le JDD, L’Humanité, Le Nouvel Obs, L’Étudiant, Le Parisien Magazine… et Les Jours, donc. Je travaille également avec les institutions européennes et le gouvernement du Luxembourg. En 2013, je reçois le premier prix catégorie reportage aux Photographies de l’année, pour un sujet sur le conflit ArcelorMittal de Florange.
Le 31 mars 2004, le jeune homme de 18 ans disparaît. Vingt ans plus tard, son père et son beau-père cherchent inlassablement la vérité.
Variants flippants, antivax en réa, gouvernement à la rue… Yannick Gottwalles, chef des urgences de Colmar, est de retour sur « Les Jours ».
Malgré les annonces présidentielles, la musique live ne reprendra sans doute pas dès le 19 mai. Mais le secteur respire un peu.
La violence de la première vague a laissé des traces chez les urgentistes colmariens : les stocks sont surveillés, mais le personnel épuisé.
Journal de redéconfinement. « Les Jours » rassemblent les infos essentielles sur la crise sanitaire. En accès libre.
Info « Les Jours ». Le monde de la culture va contester la mesure devant le Conseil d’État. Comme l’Église, qui avait eu gain de cause.
Moins de dates, plus d’échanges avec le public : les salles inventent de nouvelles formules, comme L’Autre Canal, à Nancy.
Pour Yannick Gottwalles, chef des urgences de Colmar, qui analyse les conclusions du Ségur, le gouvernement n’a rien appris de la pandémie.
Les urgentistes de Colmar reprochent à l’accord signé ce lundi d’oublier le manque de lits et d’effectifs au seul bénéfice des salaires.
Tâches usantes, sous-effectif, burn-out… et Covid : les agents des services hospitaliers de Colmar sont en souffrance.
En première ligne face au Covid, les soignants colmariens, jusque-là en retrait, se joignent au mouvement de défense de l’hôpital.
Le raz-de-marée du Covid a accentué l’épuisement des urgentistes de Colmar face à leurs conditions de travail. Ils se mobilisent ce mardi.