En décembre, c’est tous « Les Jours » Noël

Alors que mugit la mensuelle sirène des pompiers, voici que mugit également les tout aussi mensuels « Dessous des “Jours” », la newsletter des Jours pour savoir ce qui, depuis un mois, s’est déroulé dans la rédaction – on vous a épargné les angines à répétition, cas contact multiples et entorses de la cheville qui tentent d’entraver le travail de vos valeureux journalistes, en vain.

Si vous avez raté le début. Aux Jours, les paris ont été lancés pour savoir qui perdrait l’élection présidentielle au nom des Républicains et le tableau blanc installé dans la rédaction se remplit. Mais le mieux pour tout comprendre de cette primaire fermée, c’est de lire la série de Pierre Carrey, journaliste spécialisé dans le cyclisme que nous avons juché sur le porte-bagages de la droite. Déjà quatre épisodes goûtus, écrits au petit poil et drôles à lire dans Au fond, à droite, alors que le résultat de la course sera connu ce samedi.

Ça vient. Surveillez bien la home, c’est-à-dire la page d’accueil des Jours, parce que là, tout bientôt, maintenant, elle va sérieusement se transformer… Un grand chantier entamé depuis des mois dont vous nous direz, nous l’espérons, des nouvelles.

Scoops toujours. C’était sur Les Jours et nulle part ailleurs ce mois-ci : après les révélations de Pierre Bafoil sur un gynécologue accusé de viols et sous le coup de 118 plaintes, notre journaliste a dévoilé qu’un autre praticien se retrouve lui-aussi dans le viseur, à Cannes cette fois. C’est aussi sur Les Jours qu’on a appris que Thales avait mené une expérimentation de reconnaissance faciale à Roland-Garros. Et sur Les Jours encore qu’on a découvert pour la toute première fois la vidéo de la dernière assemblée générale d’i-Télé avant qu’elle disparaisse sous les oripeaux réacs de CNews : un document d’importance à voir ici.

Ça arrive. Une série des Jours en trois épisodes, c’est du jamais-vu – ou presque puisque c’est ainsi que nous avons enterré Jacques Chirac et Bernard Tapie. Et pourtant ceux qui vont inaugurer ces obsessions d’un nouveau type, eux, sont bien vivants : il s’agit de portraits enquêtés et le premier arrive très vite. De celui qui essuiera les plâtres, nous ne pouvons rien vous dire sinon qu’il mesure 1,92 mètre.

Ça ne va pas durer. Toutes ces belles choses en cours et à venir ne sont possibles que parce que Les Jours sont un média indépendant et sans pub, et donc elles ne sont possibles que grâce à vous. Vous êtes abonné·e ? Bravo, surtout restez-le, vous êtes nos meilleurs soutiens. Les fêtes approchant, vous pouvez offrir une carte cadeau Les Jours – un mois offert pour vous si vous êtes déjà abonné·e ! – ou faire un don (remboursé à 66 % sur vos impôts). Vous n’êtes pas encore abonné·e ? C’est votre jour de chance, profitez vite de notre offre pour 6 mois de Jours à 20 euros seulement, un cadeau pareil, ça ne va pas durer !

Rendez-vous jouriste. Il y a un an et un mois, les États-Unis se choisissaient un nouveau président, après quatre ans au Trumpistan. Ça se fête avec Les Jours et un rendez-vous en compagnie de Corentin Sellin, narrateur hors pair de la vie politique américaine dans la série This is America : nous vous invitons à une rencontre avec Corentin le mercredi 15 décembre prochain au café Le 61, 3 rue de l’Oise dans le XIX^e arrondissement de Paris à 19 heures. Toutes les questions seront les bienvenues – même celles sur la récente coloscopie de Joe Biden.

« Les Jours » dessinés. Les Jours en BD, c’est possible. Dès ce mercredi, vous pouvez précommander le hors-série « À l’oreille des politiques », coédité par Les Jours et La Revue dessinée, trimestriel indépendant qui traite l’actualité en bande dessinée. Vous y découvrirez des communicants emballant la parole du pouvoir, des conseillers politiques très discrets mais très écoutés, ainsi que des lobbyistes très écoutés, mais très discrets. Vous aurez évidemment reconnu plusieurs des séries d’Aurore Gorius, adaptées par les dessinateurs Vincent Sorel et Vincent Mahé.

« Les Jours » ont (toujours) des oreilles. Notre podcast Le making of des « Jours » s’est poursuivi ce mois-ci avec deux nouvelles livraisons, toujours en accès libre, toujours signées Pauline Paillassa : les coulisses de l’enquête La mythomane du Bataclan racontées par son auteur, Alexandre Kauffmann, et celles de la saga des Jours, L’empire (174 épisodes, rien que ça), où Raphaël Garrigos et Isabelle Roberts expliquent leur rapport à leur méchant préféré, Vincent Bolloré.

Les titres auxquels vous avez échappé. « Le Barnier de Séville » ? Rien à voir avec la choucroute. « Le Barnier de la classe » ? Mmm pourquoi pas… « Le Barnier des Mohicans » ? Mais encore ? « Flambé, le grand Barnier » ? Attendons tout de même le résultat. Finalement, c’est dans un dessin animé de la toute fin des années 1980 que nous sommes allés piocher pour l’épisode 4 d’Au fond, à droite, la série de Pierre Carrey sur la primaire fermée des Républicains : « Michel, le Barnier dinosaure ».

Bon mois de décembre à vous, bonnes fêtes et rendez-vous en 2022.

Les Jours