Chères et chers jouristes,
Il est midi, la sirène retentit et « Les dessous des “Jours” » aussi. Voici notre livraison mensuelle de nouvelles toutes fraîches de votre média préféré : des séries à foison, du teasing et toujours les titres de la honte, bonne lecture !
Si vous avez manqué le début (1)… Depuis le tout premier jour des Jours et la publication des Revenants, la série de David Thomson sur ces Français de retour du jihad, nous accordons une attention particulière à la question du terrorisme afin de comprendre, de décrypter, d’analyser. Ce sera aussi le cas avec L’hydre, dont le deuxième épisode arrive très bientôt. Dans cette enquête illustrée spécialement pour Les Jours par Charles Monnier, Thierry Lévêque
Si vous avez manqué le début (2)… L’histoire a démarré avec plusieurs articles dans les différentes saisons de notre série sur la crise sanitaire : l’un sur l’étonnant cas des enfants face au Covid, l’autre sur la question de l’immunité et un troisième sur les différents vaccins. Mais il était temps que Cécile Bonneau ait sa série rien qu’à elle : c’est Dans la seringue, une enquête démarrée fin janvier avec un premier épisode, à lire ici, sur les mutations du virus. Parce qu’aux Jours, on se dit que le journalisme scientifique n’a jamais assez de place dans un média
To our dear jourists. C’était une envie sitôt la publication des Indian Chronicles, notre enquête sur la guerre d’influence menée par l’Inde : proposer chacun des épisodes en anglais, qui est après tout la deuxième langue officielle du pays après l’hindi. Et c’est désormais possible grâce à VoxEurop, qui vient par ailleurs de publier notre enquête. Vous retrouverez la version anglaise dans chaque article des Jours en cliquant, dans la zone entre titre et texte, sur la phrase « Lisez cet épisode dans d’autres langues : anglais britannique ». You’re welcome.
Si vous avez manqué la suite… Elle est arrivée, la saison 2 de This is America par Corentin Sellin, ainsi que nous vous l’annoncions dans la dernière édition des « Dessous des “Jours” », publiée le 6 janvier à la mi-journée. Le 6 janvier, ça ne vous dit rien ? Nous écrivions alors : « […] si Donald Trump n’a pas, d’ici là, fait basculer le pays dans une nouvelle guerre de sécession
À venir… Et si Les Jours avaient existé en 1547, aurions-nous relaté dans La cause du people le mariage, célébré le 3 février, du tsar Ivan le terrible et d’Anastasia Romanovna ? Et si Les Jours avaient existé en 1962, aurions-nous, le 3 février, démarré une série consacrée à l’embargo contre Cuba décidé ce jour-là par John F. Kennedy ? Et si nous lancions une série historique racontée comme si l’événement se déroulait aujourd’hui ? En voilà une bonne idée et vous verrez le résultat d’ici une quinzaine de jours.
Qui es-tu… Éléonore Korady ? Elle ne signe pas d’articles sur Les Jours mais elle est partout : Éléonore Korady a rejoint Les Jours il y a quelques mois pour un poste d’animation de la communauté jouriste (en espagnol, on dit « community management ») en alternance avec ses études au CFPJ. Trois semaines par mois (la quatrième, elle est à l’école), Éléonore travaille ainsi à faire plus et mieux connaître Les Jours en ligne : tweets, posts sur Facebook et Instagram où elle conçoit désormais des « stories », à savoir un résumé en quelques éléments très graphiques de chacun des nouveaux épisodes publiés sur notre site. C’est également Éléonore qui a monté la vidéo façon « Draw my life » réalisée pour la dernière campagne d’abonnements aux Jours. Et elle nous en voudrait de ne pas profiter de l’occasion pour ajouter le lien qui va bien vers l’abonnement.
Les titres auxquels vous avez échappé. D’aucuns diront que nous n’avons publié cet article de Nicolas Cori sur la recherche du Covid dans les eaux usées uniquement pour alimenter cette rubrique, mais ce serait de la diffamation et vous ne pourrez pas le prouver. Alors oui, avant de trouver « Le virus à la trace : des données excrément intéressantes », ça a été un festival de titres que la transparence à laquelle nous sommes tant attachés nous oblige à retranscrire ici : « Aux chiottes le virus », « Covid : nous sommes officiellement dans la merde », « Covid, c’est la cacastrophe », « Running gogues » ou encore « Le caca contact ».