En 1987, un inconnu armé viole une femme puis une adolescente à Paris. À chaque fois, il exhibe une carte tricolore et ligote ses victimes…
Son rôle dans la série.
Né à Nice en 1949, l’inspecteur Pasqualini commence sa carrière en 1974 au commissariat de Saint-Germain-des-Prés à Paris puis entre au 36 quai des Orfèvres en 1976, à la brigade criminelle. Promu inspecteur divisionnaire et chef de groupe en 1983, « Cristal 16 » – son indicatif radio – occupera le bureau 302 avec ses hommes pendant huit ans. En 1986, l’année « faste » du groupe Pasqualini, il enquête sur la fusillade de la rue du Docteur-Blanche entre les flics de PJ et le gang des Postiches, sur les suites des attentats d’Action directe ou encore sur l’assassinat par un tueur en série de la petite Cécile Bloch, 11 ans, qui l’a « particulièrement marqué ».
Réputé « carré » et excellent procédurier, il est surnommé « Bubar » (barbu en verlan), il a sur le mur de son bureau la photo encadrée et dédicacée de Clint Eastwood « Best to Bernard » qu’il a rapportée d’une mission à Hollywood en 1989. Il quitte le 36 en 1991 pour aller plancher à l’école des commissaires à Saint-Cyr-au-Mont-d’Or. Nommé en 1994 à la division nationale antiterroriste, Pasqualini piste les islamistes algériens ayant posé des bombes en France en 1995 puis devient chef, en 1998, de l’antenne PJ du Val-d’Oise, enfin patron de la Sûreté départementale de Seine-Saint-Denis en 2001 où il est confronté aux 21 nuits d’émeutes à l’automne 2005. Il a pris sa retraite en 2007, à 58 ans. Après un passage à l’Institut génétique Nantes-Atlantique, il œuvre depuis 2014 comme délégué du procureur de la République de Paris (citoyen mandaté par la justice pour appliquer les mesures alternatives aux poursuites pénales). Il a publié en 2013 ses mémoires, Si ma police vous était contée, aux éditions Pygmalion.
Par Patricia Tourancheau
Son rôle dans la série.
Né à Nice en 1949, l’inspecteur Pasqualini commence sa carrière en 1974 au commissariat de Saint-Germain-des-Prés à Paris puis entre au 36 quai des Orfèvres en 1976, à la brigade criminelle. Promu inspecteur divisionnaire et chef de groupe en 1983, « Cristal 16 » – son indicatif radio – occupera le bureau 302 avec ses hommes pendant huit ans. En 1986, l’année « faste » du groupe Pasqualini, il enquête sur la fusillade de la rue du Docteur-Blanche entre les flics de PJ et le gang des Postiches, sur les suites des attentats d’Action directe ou encore sur l’assassinat par un tueur en série de la petite Cécile Bloch, 11 ans, qui l’a « particulièrement marqué ».
Réputé « carré » et excellent procédurier, il est surnommé « Bubar » (barbu en verlan), il a sur le mur de son bureau la photo encadrée et dédicacée de Clint Eastwood « Best to Bernard » qu’il a rapportée d’une mission à Hollywood en 1989. Il quitte le 36 en 1991 pour aller plancher à l’école des commissaires à Saint-Cyr-au-Mont-d’Or. Nommé en 1994 à la division nationale antiterroriste, Pasqualini piste les islamistes algériens ayant posé des bombes en France en 1995 puis devient chef, en 1998, de l’antenne PJ du Val-d’Oise, enfin patron de la Sûreté départementale de Seine-Saint-Denis en 2001 où il est confronté aux 21 nuits d’émeutes à l’automne 2005. Il a pris sa retraite en 2007, à 58 ans. Après un passage à l’Institut génétique Nantes-Atlantique, il œuvre depuis 2014 comme délégué du procureur de la République de Paris (citoyen mandaté par la justice pour appliquer les mesures alternatives aux poursuites pénales). Il a publié en 2013 ses mémoires, Si ma police vous était contée, aux éditions Pygmalion.
Par Patricia Tourancheau
Son rôle dans la série.
Né à Nice en 1949, l’inspecteur Pasqualini commence sa carrière en 1974 au commissariat de Saint-Germain-des-Prés à Paris puis entre au 36 quai des Orfèvres en 1976, à la brigade criminelle. Promu inspecteur divisionnaire et chef de groupe en 1983, « Cristal 16 » – son indicatif radio – occupera le bureau 302 du 36 pendant huit ans. En 1986, il enquête sur la fusillade de la rue du Docteur-Blanche entre les flics de PJ et le gang des postiches, sur les suites des attentats d’Action directe ou encore sur le tueur en série « Le Grêlé ». Il finira par arrêter André Bellaïche, Patrick Geay et Jean-Claude Myszka, éminents bandits de l’équipe des Postiches. Réputé « carré » et excellent procédurier, Pasqualini avait sur le mur de son bureau au 36 la photo encadrée et dédicacée de Clint Eastwood – « Best to Bernard » –, rapportée d’une mission à Hollywood. Devenu commissaire, il est nommé en 1994 à la division nationale antiterroriste. Pasqualini piste les islamistes algériens de 1995. Il est patron de la Sûreté départementale de Seine-Saint-Denis quand éclatent les émeutes de l’automne 2005. Il a pris sa retraite en 2007, à 58 ans. Il a publié en 2013 ses mémoires, Si ma police vous était contée (Éditions Pygmalion).
Par Patricia Tourancheau
En 1987, un inconnu armé viole une femme puis une adolescente à Paris. À chaque fois, il exhibe une carte tricolore et ligote ses victimes…
L’ADN a parlé : François Vérove, l’ex-gendarme qui s’est suicidé mercredi, est bien le tueur et violeur en série recherché depuis 1986.
Une prison italienne, un hélico, une arrestation et des lingots d’or introuvables : la folle cavale des Postiches prend fin.
Le 14 janvier 1986, rue du Docteur-Blanche à Paris, l’ultime braquage du gang se termine dans le sang et le caniveau.
Trente ans après la mort de Cécile Bloch, les policiers refont l’enquête et imaginent ce qu’a pu devenir le Grêlé.
En 2005, près de vingt ans après la mort de Cécile Bloch, les enquêteurs lancent une opération de la dernière chance…
En 2001, quinze ans après la mort de Cécile Bloch, une singulière profileuse belge lance une enquête parallèle.
En 1996, dix ans après la mort de Cécile Bloch, l’ADN de son assassin est isolé. Enfin un coup de fouet pour l’enquête ?
En 1994, huit ans après la mort de Cécile Bloch, un homme kidnappe une fillette et la conduit dans une ferme de l’Essonne.
En 1987, un an après le meurtre de Cécile Bloch, les corps d’une jeune Allemande et de son employeur sont retrouvés à Paris.
En ce printemps 1986, l’inspecteur Pasqualini a une intuition : l’assassin de Cécile Bloch est un criminel en série.
Plusieurs témoins ont croisé le suspect numéro 1 du meurtre de Cécile Bloch. La police va pouvoir tirer son portrait-robot.