Le président de la République a présenté ce mercredi ses vœux à la presse dans une ambiance de défiance réciproque. Reportage mondain.
Son rôle dans la série.
Bonne idée que d’avoir écarté Christophe Barbier de la direction de la rédaction de L’Express en 2016. Sauf que, du coup, maintenant plus encore que par le passé, ce journaliste politique à l’éternelle écharpe rouge squatte les plateaux télé pour livrer ses analyses politiques de haut vol. Éditorialiste (et conseiller éditorial), c’est d’ailleurs désormais très officiellement son poste au sein de SFR Média (proprio de L’Express et de Libération) et c’est à ce titre qu’on le retrouve sur BFMTV, qui appartient au même groupe. Il hante également le plateau de C dans l’air sur France 5. En 2017, on l’a vu très chonchon après la victoire à la primaire de Benoît Hamon : « J’espère qu’il en a bien profité parce que c’est fini ». Et très admiratif de la résilience de François Fillon. Ce qui est sûr, c’est que chez Christophe Barbier, il n’y a de rouge que l’écharpe.
Par Raphaël Garrigos et Isabelle Roberts
Son rôle dans la série.
Bonne idée que d’avoir écarté Christophe Barbier de la direction de la rédaction de L’Express en 2016. Sauf que, du coup, maintenant plus encore que par le passé, ce journaliste politique à l’éternelle écharpe rouge squatte les plateaux télé pour livrer ses analyses politiques de haut vol. Éditorialiste (et conseiller éditorial), c’est d’ailleurs désormais très officiellement son poste au sein de SFR Média (proprio deL’Express et Libération) et c’est à ce titre qu’on le retrouve sur BFMTV, qui appartient au même groupe. Il hante également le plateau de C dans l’air sur France 5. Récemment, on l’a vu très chonchon après la victoire de Benoît Hamon : « J’espère qu’il en a bien profité parce que c’est fini » et très admiratif de la résilience » de François Fillon. Ce qui est sûr, c’est que chez Christophe Barbier, il n’y a de rouge que l’écharpe.
Par Raphaël Garrigos et Isabelle Roberts
Son rôle dans la série.
Bonne idée que d’avoir écarté Christophe Barbier de la direction de la rédaction de L’Express en 2016. Sauf que, du coup, maintenant plus encore que par le passé, ce journaliste politique à l’éternelle écharpe rouge squatte les plateaux télé pour livrer ses analyses politiques de haut vol. Éditorialiste (et conseiller éditorial), c’est d’ailleurs désormais très officiellement son poste au sein de SFR Média (proprio deL’Express et Libération) et c’est à ce titre qu’on le retrouve sur BFMTV, qui appartient au même groupe. Il hante également le plateau de C dans l’air sur France 5. Récemment, on l’a vu très chonchon après la victoire de Benoît Hamon : « J’espère qu’il en a bien profité parce que c’est fini » et très admiratif de la résilience » de François Fillon. Ce qui est sûr, c’est que chez Christophe Barbier, il n’y a de rouge que l’écharpe.
Par Raphaël Garrigos et Isabelle Roberts
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Bains de foule, pizzas, dossiers sous le bras : pendant les congés du Président, la com de l’Élysée n’a pas pris de vacances.
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Le ministre de l’Intérieur démissionne pour rejoindre Lyon. Un psychodrame à la com où tout ce qui pouvait foirer foira.
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Replay. « Les Jours » racontent la toute première interview télé d’un Président qui s’était jusqu’alors refusé à l’exercice.
Replay. Raz-de-marée En marche au premier tour des législatives. Revivez la soirée électorale avec « Les Jours ».
Mieux que les journalistes embedded avec le président, « Les Jours » ont décidé d’être « in bed » avec lui, enfin, dans sa tête.