Ken Eto n’est plus, son monde non plus. Moribonde, la pègre de Chicago court désormais après les dernières miettes des business illégaux.
Ken Eto n’est plus, son monde non plus. Moribonde, la pègre de Chicago court désormais après les dernières miettes des business illégaux.
Désormais sous la protection du FBI, le Nippo-Américain se met à balancer tout ce qu’il sait sur la mafia de Chicago. Et il sait beaucoup de choses…
François Vérove pourrait avoir été impliqué dans les meurtres non résolus de deux petites filles en 1987. La juge Nathalie Turquey enquête.
Trahi par ses pairs, le mafieux accepte de coopérer avec la justice. Première étape : mettre la main sur ceux qui ont tenté de le tuer.
Un caïd haut placé au sein de la pègre de Chicago qui prend trois balles dans la tête et survit ? Le FBI n’en revient pas. Il faut aller vite.
Ken Eto a beau faire remonter des millions de dollars, la pègre de Chicago ne lui fait plus confiance. Voilà qu’on le convoque à d’étranges rendez-vous…
Le jeune Ken Eto se fait le cuir entre un père violent, un camp de concentration pour les personnes d’origine japonaise et les premiers délits.
Malgré des pistes d’élucidation, le pôle de Nanterre refuse de rouvrir le dossier du meurtre d’un retraité sans histoire de Sarcelles. Incompréhensible.
Le Nippo-Américain remplit les poches de l’Outfit, la mafia de Chicago, grâce aux jeux d’argent. C’est un gros poisson, comprend enfin le FBI.
Ken Eto, Nippo-Américain, a fait son chemin au sein de la pègre de Chicago… jusqu’à ce qu’elle décide de le tuer, en 1983. Comment en est-il arrivé là ?
Une association a réalisé ce que refuse de faire le pôle de Nanterre : une carte des 369 homicides non élucidés. Un total sûrement sous-estimé.
À la traîne au plan international, le pôle « cold cases » vient de diffuser une vidéo pour identifier un violeur en série. Une première encore bancale.
Les succès d’élucidation du pôle de Nanterre, créé il y a deux ans, révèlent les défaillances du passé. Et le manque de moyens d’aujourd’hui.
Grâce à une nouvelle expertise génétique, un suspect a été arrêté quinze ans après un meurtre. Un succès du pôle « cold cases » qui en appelle d’autres.
Au terme d’un procès qui a mis en lumière sa responsabilité dans les crimes de son ex-mari, elle a écopé de la perpétuité, avec vingt ans de sûreté.
Les policiers ont tout fait pour défendre leur enquête bâclée, finalement résolue par la gendarmerie. Jusqu’à tenter d’innocenter le tueur.
Point-clé du procès, les 35 meurtres que Fourniret aurait pu commettre, au lieu des 11 connus. « Peut-être vrai ou pas vrai », dit la complice.
Jugée pour la troisième fois pour trois des meurtres commis avec Michel Fourniret, Monique Olivier s’est présentée en femme soumise et apeurée.
Les ratés judiciaires sur le parcours criminel du couple seront au cœur du procès de Monique Olivier, le premier du pôle « cold cases », mardi.
Le meurtre non-résolu d’une lycéenne en 1993 a été confié au pôle « cold cases ». Ce cas soulève la question des féminicides par auteur inconnu.
Introuvable depuis 2003, elle était inhumée dans un cimetière voisin. Une faute ahurissante enfin rectifiée par le pôle « cold cases ».
Après trente-six ans d’enquêtes ratées, les juges de Nanterre héritent de quatre crimes non résolus aux modes opératoires très proches.
Reportage à l’Office central pour la répression des violences aux personnes, qui veut bâtir une mémoire criminelle des « cold cases ».
Ex-enquêteur de terrain à la PJ, Raphaël Nedilko a résolu deux « cold cases ». Il fustige les lacunes de la police face aux crimes complexes.
Le pôle « cold cases » sonde le parcours criminel du violeur et meurtrier d’enfants Willy van Coppernolle pour élucider d‘anciennes affaires.
Les tribunaux continuent à détruire les scellés dans les affaires de crimes irrésolus. Le pôle « cold cases » doit remédier à ce scandale.
La première mise en examen du pôle de Nanterre tente de rattraper les dysfonctionnements de la justice, notamment du fichage génétique.
Olivier Le Gall enquête, au sein d’un cabinet d’avocats, sur des crimes non résolus. Une première en France.
Le mystère Marion Wagon, une famille disparue en 1972… Les dossiers s’accumulent et le tribunal de Nanterre risque de manquer d’effectifs.
Le nouveau pôle de Nanterre dédié aux « cold cases » a détaillé les premières affaires qui vont être réexaminées. Elles datent de 1987.
Le nouveau pôle « cold cases » pourrait hériter de l’affaire Danièle Bernard dont le meurtre, en 1989, a été négligé par la justice.
Des dizaines de familles de disparus demandent que soit disséqué son parcours. Un cas qui devrait atterrir au nouveau pôle « cold cases ».