Après des législatives désastreuses, la Première ministre livre un gouvernement composé de macronistes et en même temps de macronistes.
Après des législatives désastreuses, la Première ministre livre un gouvernement composé de macronistes et en même temps de macronistes.
Bayrou, Philippe, Valls, des noms rigolos, des boulets conservés, quelques éjectés et le boss partout. Les macronistes entrent en campagne.
Des cabinets ministériels à la haute administration, le Président place ses proches et assure ses arrières. Objectif : un second mandat.
Un contrôle des frais des parlementaires est instauré mais qui pourrait n’avoir finalement lieu qu’une seule fois par mandat.
Pas d’accord sur la suppression de la réserve parlementaire : la loi « moralisation » repart pour un tour.
Le gouvernement avait promis des consultations sur la loi « moralisation », mais n’en avait cure. Logiquement, ça a tourné court.
Examinant la loi « moralisation », les députés macronistes ont brillé par leur mutisme. Seule la rapporteure a joué son rôle.
Fin de la réserve parlementaire, contrôle des frais… Nicole Belloubet n’a pas converti les élus à la « moralisation ».
Après le départ de Bayrou, la loi « moralisation » se fait tacler par les élus locaux, qui refusent qu’on limite leurs mandats.
François Bayrou démissionné et remplacé par Nicole Belloubet à la Justice : que va devenir le texte qu’il a porté ?
François Bayrou devait porter haut l’étendard de la moralisation politique, il se retrouve embourbé dans les affaires.
Il a largement réécrit la « loi de moralisation de la vie publique » promise par Macron. Pas grave, le candidat n’y tenait pas.
L’affaire Ferrand se télescope avec la loi de moralisation de la vie politique. « Les Jours » racontent la fabrique d’une réforme.