Avec ou sans accord ? Fin juillet ou fin décembre ? Covid oblige, la bataille se joue en sourdine, mais le divorce sera signé en 2020.
Qu’est-ce qui fait tourner notre monde ? Quels en sont les ressorts secrets ? Ces questions sont celles qui m’animent chaque jour – et chaque nuit – de ma vie de journaliste. J’ai cherché des années la réponse dans le domaine économique et social en étant pigiste à L’Expansion, puis chef adjointe du service économie et social de France Inter. « C’est la monnaie qui dirige le monde », disait une chanson des années 1990. En tout cas, la crise est passée par là et l’explication se trouve en grande partie dans l’économie. En partie seulement. J’ai donc souhaité élargir mon horizon. D’abord avec une enquête économique et politique sur la machine qu’est le ministère de l’Économie et des Finances, Dans l’enfer de Bercy (JC Lattès, 2017), coécrite avec Frédéric Says, de France Culture. Puis en traversant la Manche, pour ausculter tout un pays et son Brexit, objet politique-économique-social-sociétal-scientifique non identifié. Depuis 2017, j’y travaille pour plusieurs médias francophones – BFMTV, Le Parisien, Alternatives économiques, Radio France en format magazine, Le Soir de Belgique – et désormais… Les Jours.
Avec ou sans accord ? Fin juillet ou fin décembre ? Covid oblige, la bataille se joue en sourdine, mais le divorce sera signé en 2020.
Le conseiller de Boris Johnson et stratège du Brexit est étrillé pour avoir rompu le confinement. Arrogant comme toujours, il assume.
Testé positif au coronavirus, il était en soins intensifs depuis ce lundi. Le pays est dans l’attente ; le pouvoir, dans le flou.
Comme le Brexit, il a failli ne jamais arriver ! Et puis, après des semaines à naviguer sans boussole, Boris Johnson s’y est résolu.
Le Royaume-Uni, qui débute les négociations post-Brexit ce lundi, a présenté son futur système d’immigration, très restrictif.
Ce vendredi, à minuit, le Royaume-Uni quitte officiellement l’UE. À Bruxelles, les députés britanniques ont déjà vidé leurs bureaux : 🇬🇧💔🇪🇺
Boris Johnson prépare en grande pompe la sortie de l’UE du 31 janvier. Seule certitude dans un avenir flou : Big Ben ne sonnera pas.
Boris Johnson a largement remporté les élections ce jeudi… et son pari de quitter définitivement l’UE avant fin janvier. Game over.
S’ils gagnent ce jeudi, Lib Dem, travaillistes et même conservateurs investiront dans le social. Et en finiront avec le Brexit. Juré.
Avant les législatives de décembre, Boris Johnson et les autres montrent les muscles… pour éviter de prendre position sur le Brexit.
Rien ne va plus, les jeux sont défaits : pas de Brexit ce 31 octobre mais des législatives anticipées se tiendront le 12 décembre.
Le Brexit était en voie d’être voté ce samedi, mais Boris Johnson a encore été contré et contraint de demander un report. WTF ?
Déçus par le Brexit, perdus dans la paperasse… « Les Jours » ont rencontré des expatriés qui doutent de leur avenir outre-Manche.
À une semaine d’écart, les congrès des conservateurs et des travaillistes ont révélé de profondes divisions dans les deux camps.
La Cour suprême juge « illégale » la suspension du Parlement décidée par le Premier ministre afin de faire passer le Brexit en force.
De grosses pénuries, notamment de médicaments : c’est ce que révèle un rapport du gouvernement Johnson qui simule le scénario du pire.
Plus de majorité, pas de Brexit dur fin octobre et pas de dissolution du Parlement… Le Premier ministre tient-il encore la barre ?