Encore sonnés par la défaite, les ex-élus PS de l’Hérault cherchent du travail et des idées pour tenter de sauver le parti.
Son rôle dans la série.
Il a 21 ans, étudie en deuxième année de science politique à l’université de Montpellier et dirige le mouvement des jeunes socialistes (MJS) de l’Hérault qui compte environ 50 militants. Encarté à 16 ans, Bastien Frayssinoux, a été élu en 2015 « animateur fédéral du MJS », ce qui le conduit à participer plusieurs fois l’an aux réunions des instances nationales des jeunes socialistes. Lors des actions militantes, il constate en permanence à quel point il est devenu difficile pour les jeunes de s’engager dans des partis institutionnalisés.
Par Antoine Guiral
Son rôle dans la série.
Il a 21 ans, étudie en deuxième année de science politique à l’université de Montpellier et dirige le mouvement des jeunes socialistes (MJS) de l’Hérault qui compte environ 50 militants. Encarté à 16 ans, Bastien Frayssinoux, a été élu en 2015 « animateur fédéral du MJS », ce qui le conduit à participer plusieurs fois l’an aux réunions des instances nationales des jeunes socialistes. Lors des actions militantes, il constate en permanence à quel point il est devenu difficile pour les jeunes de s’engager dans des partis institutionnalisés.
Par Antoine Guiral
Son rôle dans la série.
Il a 21 ans, étudie en deuxième année de science politique à l’université de Montpellier et dirige le mouvement des jeunes socialistes (MJS) de l’Hérault qui compte environ 50 militants. Encarté à 16 ans, Bastien Frayssinoux, a été élu en 2015 « animateur fédéral du MJS », ce qui le conduit à participer plusieurs fois l’an aux réunions des instances nationales des jeunes socialistes. Lors des actions militantes, il constate en permanence à quel point il est devenu difficile pour les jeunes de s’engager dans des partis institutionnalisés.
Par Antoine Guiral
Encore sonnés par la défaite, les ex-élus PS de l’Hérault cherchent du travail et des idées pour tenter de sauver le parti.
Depuis 2012, le parti détenait sept des neuf circonscriptions de l’Hérault. Aucun de ses candidats ne sera au second tour.
Dans l’Hérault, les législatives vont sans doute se transformer en fiasco pour le parti. Dans les urnes et dans les caisses.
Ambiance funeste chez les socialistes : ils tractent pour Macron en attendant les législatives et l’inévitable guerre intestine.
À la fédération de l’Hérault désertée, les militants socialistes sont sonnés, mais croient pouvoir encore peser.
Les socialistes de l’Hérault anticipent la défaite de Hamon et s’interrogent sur la manière de sauver le parti et leurs mandats.
Les socialistes de l’Hérault, divisés et, pour certains, démotivés, ont du mal à faire campagne pour leur candidat.
Les tractations de la gauche au niveau national résonnent dans l’Hérault, où le PS s’agite à l’approche des législatives.
Qui fera la campagne de Hamon ? Qui ralliera Macron ? À la « fédé » de l’Hérault, les armes sont rangées. Pour l’instant.
L’enjeu de la participation à la primaire est crucial pour les socialistes. Dans les rues de Montpellier, ils battent le rappel.