Entouré de conseillers fidèles mais à la pensée uniforme et méfiants à l’égard du dialogue social, Emmanuel Macron s’isole toujours plus.
Son rôle dans la série.
Né en 1987, « Isma » a déjà une longue expérience des coulisses du pouvoir. Petite main de la campagne de Dominique Strauss-Kahn en 2006, il a ensuite travaillé au sein de l’agence Havas. Il a croisé Emmanuel Macron en 2009 puis est devenu son conseiller com et stratégie à Bercy, fonction qu’il a également occupée pendant la campagne présidentielle. Après la victoire, il a été nommé conseiller spécial à l’Élysée. Son rôle dans l’affaire Benalla, et la diffusion des images des violences du 1er mai place de la Contrescarpe, reste à déterminer. L’affaire a sans doute pesé dans son départ de l’Élysée, début février 2019, après le déclenchement du mouvement des gilets jaunes. Depuis, il a créé un cabinet de conseil en com et en stratégie d’entreprise, mais il est resté proche du secrétaire général de l’Élysée, Alexis Kohler, et d’Emmanuel Macron, qui le consultent régulièrement.
Par Aurore Gorius
Son rôle dans la série.
Né en 1987, « Isma » a déjà une longue expérience des coulisses du pouvoir. Petite main de la campagne de Dominique Strauss-Kahn en 2006, il a ensuite travaillé au sein de l’agence Havas. Il a croisé Emmanuel Macron en 2009 puis est devenu son conseiller com et stratégie à Bercy, fonction qu’il a également occupée pendant la campagne présidentielle. Après la victoire, il a été nommé conseiller spécial à l’Élysée. Son rôle dans l’affaire Benalla, et la diffusion des images des violences du 1er mai place de la Contrescarpe, reste à déterminer. L’affaire a sans doute pesé dans son départ de l’Élysée, début février 2019, après le déclenchement du mouvement des gilets jaunes. Depuis, il a créé un cabinet de conseil en com et en stratégie d’entreprise, mais il est resté proche du secrétaire général de l’Élysée, Alexis Kohler, et d’Emmanuel Macron, qui le consultent régulièrement.
Par Aurore Gorius
Son rôle dans la série.
Petite main de la campagne de Dominique Strauss-Kahn en 2006, il a ensuite travaillé au sein de l’agence Havas. Il a croisé Emmanuel Macron en 2009 puis devint son conseiller com et stratégie à Bercy, fonction qu’il a également occupée pendant la campagne présidentielle.
Par Aurore Gorius
Son rôle dans la série.
Il a rencontré Emmanuel Macron à 19 ans et ne l’a plus quitté. Formé à l’école Havas, il fut son conseiller en com au ministère de l’Économie, qu’il a quitté dès la création d’En marche. Il est la cheville ouvrière de la stratégie du candidat.
Par Aurore Gorius
Entouré de conseillers fidèles mais à la pensée uniforme et méfiants à l’égard du dialogue social, Emmanuel Macron s’isole toujours plus.
Mis en examen pour « prise illégale d’intérêts », le secrétaire général de l’Élysée reste en poste, protégé de longue date du Président.
Les conseillers partent les uns après les autres mais le secrétaire général, très proche du Président, reste en poste malgré les critiques.
Sibeth Ndiaye et Cédric O, deux fidèles du Président, quittent la coulisse pour rejoindre le gouvernement. En pleine lumière.
Après dix-huit mois de pouvoir, les fidèles du Président quittent l’Élysée un à un. Dernier en date : Ismaël Emelien.
Les conseillers ministériels sont souvent issus d’agences de communication qui cherchent des relais au cœur du pouvoir.
Malgré le renouvellement promis par Macron, les conseillers issus du hollandisme et du sarkozysme trustent les ministères.
Dans son équipe commando de campagne, les communicants d’Emmanuel Macron ont joué un rôle-clé.
On les appelle les « plumes ». Ils racontent comment ils écrivent les discours de Macron, Hamon ou Fillon.