La plateforme de streaming veut imposer le « user-centric payment system », un modèle économique jugé plus juste pour les artistes.
Son rôle dans la série.
Cette société assure la collecte et la redistribution des droits des auteurs, compositeurs et éditeurs de musique. Elle représente aussi des comiques ou des auteurs-réalisateurs. Créée en 1851, elle revendique plus de 153 000 membres (chiffre 2014) et compte parmi les très gros acteurs du monde de la musique. La Sacem assure notamment pour le monde entier la gestion de l’ensemble du catalogue de la plus grosse major du disque, Universal Music sur YouTube, la plateforme de streaming musical la plus fréquentée. Société à but non lucratif détenue par ses membres, la Sacem n’en est pas moins un lobby puissant qui défend une interprétation restrictive du droit d’auteur et intervient fréquemment pour interdire toute exploitation non-autorisée des œuvres de ses sociétaires.
Par Sophian Fanen
Son rôle dans la série.
Cette société assure la collecte et la redistribution des droits des auteurs, compositeurs et éditeurs de musique. Elle représente aussi des comiques ou des auteurs-réalisateurs. Créée en 1851, elle revendique plus de 153 000 membres (chiffre 2014) et compte parmi les très gros acteurs du monde de la musique. La Sacem assure notamment pour le monde entier la gestion de l’ensemble du catalogue de la plus grosse major du disque, Universal Music sur YouTube, la plateforme de streaming musical la plus fréquentée. Société à but non lucratif détenue par ses membres, la Sacem n’en est pas moins un lobby puissant qui défend une interprétation restrictive du droit d’auteur et intervient fréquemment pour interdire toute exploitation non-autorisée des œuvres de ses sociétaires.
Par Sophian Fanen
Son rôle dans la série.
Cette société assure la collecte et la redistribution des droits des auteurs, compositeurs et éditeurs de musique. Elle représente aussi des comiques ou des auteurs-réalisateurs. Créée en 1851, elle revendique plus de 153 000 membres (chiffre 2014) et compte parmi les très gros acteurs du monde de la musique. La Sacem assure notamment pour le monde entier la gestion de l’ensemble du catalogue de la plus grosse major du disque, Universal Music sur YouTube, la plateforme de streaming musical la plus fréquentée. Société à but non lucratif détenue par ses membres, la Sacem n’en est pas moins un lobby puissant qui défend une interprétation restrictive du droit d’auteur et intervient fréquemment pour interdire toute exploitation non-autorisée des œuvres de ses sociétaires.
Par Sophian Fanen
La plateforme de streaming veut imposer le « user-centric payment system », un modèle économique jugé plus juste pour les artistes.
Le texte voté ce mardi par l’Europe va modifier la circulation de la culture en ligne, notamment sur YouTube. On vous explique tout.
La directive qui rééquilibre le rapport de force entre plateformes et labels a été votée. Mais les artistes auront-ils leur part ?
La bataille aura lieu en septembre : le Parlement européen a repoussé le texte sur l’encadrement des plateformes, YouTube en tête.
La mort de Johnny marque la fin d’une ère où les purs interprètes étaient rois. Aujourd’hui, le streaming ne les paye pas assez.
Cette base de données en ligne pourrait rénover l’économie de la musique. Mais l’industrie n’y a pas forcément intérêt.
Sous le streaming légal (2/2). La fermeture des sites de téléchargement menace les disques rares, absents des plateformes de streaming.
Sous le streaming légal (1/2). Insatisfaits par l’offre, des puristes de la musique privilégient le bon vieux téléchargement.
La guerre de YouTube (2/2). Au-delà de l’argent, l’industrie musicale exige plus de contrôle sur les vidéos.
Tubes en chaîne (2/4). Si les êtres de chair et d’oreilles sont revenus au cœur de la création des sélections, c’est pour guider les robots.
Cash-cash (2/2). Exiger son dû à la plateforme prend des airs d’odyssée pour un label. Plongée dans ses entrailles.
Cash-cash (1/2). La plateforme ne reverse que des miettes. Mais beaucoup de maisons de disques ne les réclament même pas.
Rassembler le secteur, instaurer l’équité entre majors et petits labels… Le doux rêve d’un Centre national de la musique a été torpillé en 2012.