Enfermement, chaînes d’info et cheveux sales : voici les conseils de nos Covid-déprimés pour un cafard abouti. Histoire d’en rire.
Enfermement, chaînes d’info et cheveux sales : voici les conseils de nos Covid-déprimés pour un cafard abouti. Histoire d’en rire.
Certains de nos Covid-déprimés cherchent à voir « quelqu’un ». Mais un ‑chanalyste, un ‑chologue, un ‑chiatre ? Ce n’est pas si complexe.
La pandémie a fait de nous des cancrelats et cela nous sauvera : pour nos Covid-déprimés, la philosophie de Bruno Latour est… étonnante.
Une année de crise sanitaire a bouleversé comportements individuels et rapports sociaux. Et l’après reste insaisissable.
Problèmes éducatifs, de couple, isolement, colère : le psychiatre Robert Neuburger analyse l’effet de la crise sanitaire sur notre mental.
Reconfinera, reconfinera pas… La crise sanitaire nous empêche de nous projeter, d’anticiper. Comment surmonter cette incertitude ?
Aux grands maux, l’écran remède ? Tout le contraire : la visioconférence nous rend nerveux, apathiques, misanthropes, inessentiels…
Lassitude, tristesse, angoisse… La crise sanitaire nous fait mal au moral. « Les Jours » enquêtent sur une société en plein bad.
Ennui, inquiétude, perte de repères : contre toute attente, être claquemuré chez soi est épuisant. Mais facilite une introspection.
« Crevés », « vidés » ou « épuisés » ? La fatigue n’ayant pas de synonyme, la raconter passe par des expressions qui nous trahissent.
Quand l’épuisement s’installe, la méditation, l’hypnose ou encore le yoga peuvent aider à dépasser l’abattement.
Être crevé est une manière socialement acceptable de dire que ça ne va pas, tout en contenant sa rage. Et c’est une vieille histoire.
La généticienne Elisa Frisaldi travaillait sur les placebos. Elle imagine désormais repousser notre « seuil de fatigabilité ». Entretien.
Le décalage entre nos aspirations profondes et les vies que nous menons nous épuise.