En appel, l’ex-Premier ministre écope de quatre ans de prison dont un seul ferme ; son épouse de deux ans avec sursis. Moins qu’en 2020.
En appel, l’ex-Premier ministre écope de quatre ans de prison dont un seul ferme ; son épouse de deux ans avec sursis. Moins qu’en 2020.
Cinq ans de prison dont un an ferme aménageable ont été requis en appel contre François Fillon. Qui voit s’éloigner l’incarcération.
Lourdement condamné en première instance, le couple est à nouveau venu chercher la relaxe mais est resté aussi flou dans ses réponses.
Cinq ans de prison dont deux ferme pour lui ; trois ans avec sursis pour son épouse. Condamnés à rendre plus d’un million, ils font appel.
Les avocats du couple ont été plus en verve pour charger l’enquête que pour étayer le fond de l’affaire. Jugement attendu le 29 juin.
Cinq ans de prison dont trois avec sursis ont été demandés contre l’ex-Premier ministre, au terme d’un réquisitoire implacable.
Interrogé par le tribunal sur un emprunt de 50 000 euros qu’il n’a pas déclaré, l’ex-Premier ministre a plaidé l’« erreur honnête ».
En fin de procès, Fillon a tenté des coups. Mais le tribunal a attendu en vain des preuves tangibles du travail de sa femme.
Sur le gril, l’ex-suppléant de François Fillon a évoqué une collaboration « orale et immatérielle » avec son ancienne assistante.
Un manoir sans boîte aux lettres, un circuit du courrier opaque… Le tribunal a cherché, et cherche encore, les traces d’un travail.
Fébrile et accablée, Penelope Fillon a peiné à détailler les tâches qu’elle aurait accomplies pour son mari.
Il espérait l’Élysée mais, rattrapé par les présumés emplois fictifs de sa femme et son goût pour l’argent, il termine au tribunal.