Les lycées restent ouverts, annonce Jean-Michel Blanquer qui garde l’objectif de 50 % de cours à distance. À Grenoble, on tente de suivre…
Son rôle dans la série.
Après quatorze ans en collège REP à Cergy, dans le Val-d’Oise, et huit à demander sa mutation à la montagne, Dominique Trelat, 38 ans, prof d’éducation physique et sportive, découvre Grenoble en même temps que la réforme du bac, côté élèves comme côté enseignants. Spécialiste d’athlétisme, il est le prof de sport de la terminale G4. La crise sanitaire complique l’exercice de sa discipline : les sports collectifs sont proscrits, tout comme ceux impliquant un contact rapproché, comme l’accrosport. Restent la musculation, « encore autorisée avec les masques », et la course (relais, tout terrain) en extérieur. « On s’en fiche qu’ils soient performants, on veut qu’ils soient autonomes », dit-il au sujet des futurs bacheliers. Pour lui, il est important que les élèves sentent qu’on leur porte de l’attention. Et qu’ils rigolent de temps en temps à ses vannes.
Son rôle dans la série.
Après quatorze ans en collège REP à Cergy, dans le Val-d’Oise, et huit à demander sa mutation à la montagne, Dominique Trelat, 37 ans, prof d’éducation physique et sportive, découvre Grenoble en même temps que la réforme du bac, côté élèves comme côté enseignants. Spécialiste d’athlétisme, il est prof principal de la 1ère G4 – « plutôt une bonne classe », juge-t-il à la rentrée. Mais « au collège, j’avais les élèves huit heures par semaine » en tant que prof principal, explique-t-il. Au lycée, il devra se contenter de deux heures hebdomadaires avec la 1ère G4. Pour lui, il est important que les élèves sentent qu’on leur porte de l’attention. Et qu’ils rigolent de temps en temps à ses vannes.
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