
C’est enfin l’heure des résultats pour les élèves suivis par « Les Jours » depuis deux ans, et l’heure du bilan pour la réforme covidée.
Son rôle dans la série.
Comme tout bon grognard de la Macronie, il n’a jamais été de gauche. Fils de prof, il a obtenu en 1982 son bac B (sciences économiques, sciences sociales, mathématiques appliquées), après avoir fait tout son cursus secondaire dans un établissement privé catholique, dans le VIe arrondissement de Paris. Agrégé de droit public, il devient recteur d’académie en 2004, puis directeur général de l’enseignement scolaire auprès du ministre de l’Éducation nationale Luc Chatel, sous la présidence Sarkozy, puis, en 2013, directeur de l’Essec (École supérieure des sciences économiques et commerciales). Il est nommé ministre de l’Éducation nationale et de la jeunesse le 17 mai 2017 par Édouard Philippe. L’annonce de la réforme du lycée et du baccalauréat, la loi pour « une école de la confiance » et l’absence de revalorisation salariale des enseignants mettent le feu aux poudres à la rentrée 2018. La contestation des profs culmine au printemps 2019 avec la grève des correcteurs du bac. La veille des résultats, près de 80 000 copies manquent encore à l’appel. Blanquer, lui, écume les matinales pour assurer qu’il a la situation bien en main.
Son rôle dans la série.
Comme tout bon grognard de la Macronie, il n’a jamais été de gauche. Fils de prof, il a obtenu en 1982 son bac B (sciences économiques, sciences sociales, mathématiques appliquées), après avoir fait tout son cursus secondaire dans un établissement privé catholique, dans le VIe arrondissement de Paris. Agrégé de droit public, il devient recteur d’académie en 2004, puis directeur général de l’enseignement scolaire auprès du ministre de l’Éducation nationale Luc Chatel, sous la présidence Sarkozy, puis, en 2013, directeur de l’Essec (École supérieure des sciences économiques et commerciales). Il est nommé ministre de l’Éducation nationale et de la jeunesse le 17 mai 2017 par Édouard Philippe. L’annonce de la réforme du lycée et du baccalauréat, la loi pour « une école de la confiance » et l’absence de revalorisation salariale des enseignants mettent le feu aux poudres à la rentrée 2018. La contestation des profs culmine au printemps avec la grève des correcteurs du bac. La veille des résultats, près de 80 000 copies manquent encore à l’appel. Blanquer, lui, écume les matinales pour assurer qu’il a la situation bien en main. Près d’une vingtaine de candidats recalés auraient saisi la justice administrative pour « rupture d’égalité ».
C’est enfin l’heure des résultats pour les élèves suivis par « Les Jours » depuis deux ans, et l’heure du bilan pour la réforme covidée.
Le redouté grand oral a commencé, sur fond de grève des profs de philo. Une fin d’année à l’image de la réforme Blanquer : foirée.
Nouveauté du bac Blanquer, le grand oral se rapproche dangereusement pour les terminales de Grenoble, qui se préparent avec un comédien.
Pas évident de se préparer en distanciel à ce qui attend élèves de TG4 à leur retour au lycée Mounier : l’écrit blanc de philo.
Malgré le manque d’infos, le lycée Mounier de Grenoble se prépare pour le grand oral, seule épreuve du nouveau bac ayant résisté au Covid.
L’annulation des épreuves de spécialité est un bref répit pour le lycée Mounier, pris dans le casse-tête de la réforme et du coronavirus.
Bac Blanquer, Parcoursup, enseignement supérieur… Le compte à rebours est lancé pour les terminales du lycée Mounier à Grenoble.
Les lycées restent ouverts, annonce Jean-Michel Blanquer qui garde l’objectif de 50 % de cours à distance. À Grenoble, on tente de suivre…
Face au revirement de Jean-Michel Blanquer, le lycée Mounier a décidé de passer outre les instructions pour son hommage à Samuel Paty.
Platon, esprit critique, notions, Marx, méthodo… Les élèves du lycée Mounier de Grenoble découvrent la sagesse, version bac Blanquer.
Corps changés, visages masqués et la réforme Blanquer toute l’année. « Les Jours » font leur rentrée en terminale G4 au lycée Mounier.
Jeudi, Jean-Michel Blanquer a mis fin au suspense et annulé l’oral de français. Une pilule douce-amère pour le lycée Mounier, à Grenoble.
Épreuves du bac en suspens, conseil de classe virtuel : le coronavirus s’invite dans une année déjà mouvementée pour la 1ère G4.
Réforme du bac, « devoir de réserve », postes rognés, classes surchargées… Les profs du lycée Mounier à Grenoble ouvrent les vannes.
Ces nouvelles épreuves cristallisent la colère avec des appels à la grève. Au lycée Mounier, elles débutent ce mardi. Enfin, normalement.
Info « Les Jours ». Ce rituel trimestriel va être réformé pour s’adapter au nouveau bac. Exemple au lycée Mounier, à Grenoble.
Choisir des cours en plus ? Avec le nouvel examen, ça ne paye plus, constatent parents et élèves du lycée Mounier, à Grenoble.
Épreuves, calendrier, coefs : les profs du lycée Mounier, à Grenoble, ont tenté de briefer les familles sur la nébuleuse réforme.
Au lycée Mounier, à Grenoble, les élèves suivis par « Les Jours » apprennent à se connaître et se familiarisent avec le nouveau bac.