Le redouté grand oral a commencé, sur fond de grève des profs de philo. Une fin d’année à l’image de la réforme Blanquer : foirée.
Son rôle dans la série.
Spécialités : sciences économiques et sociales ; littérature anglaise (il a abandonné histoire-géographie, géopolitique et sciences politiques à la fin de la première).
Lucas, 16 ans, sait déjà de quoi il veut parler durant son grand oral, l’une des nouveautés phares du bac Blanquer : d’écologie, en anglais. Quand on l’a rencontré l’année dernière, en début de première, Lucas se voyait plus tard journaliste, homme politique ou mannequin. Ses envies n’ont pas changé, il y ajoute une nouvelle option : traducteur, après une fac de langues. Il se présente comme quelqu’un qui « aime être à l’écoute des gens », « souriant », « pas replié » sur lui-même, « très sensible » et « parfois mal à l’aise ».
Ses passe-temps : la musique (Mylène Farmer forever, de la variété française, de l’alternative et de la dance), la pâtisserie, Insta, ses amis.
Son rôle dans la série.
Spécialités : histoire-géographie, géopolitique et sciences politiques (HGGSP) ; sciences économiques et sociales ; littérature anglaise.
Lucas dit « aimer être à l’écoute des gens », se décrit comme « souriant », « pas replié » sur lui-même, « très sensible » et « parfois mal à l’aise ». Il voudrait être journaliste, homme politique ou mannequin.
Ses passe-temps : la musique (Mylène Farmer forever, de la variété française, de l’alternative et de la dance), la pâtisserie, Insta, ses amis.
Le redouté grand oral a commencé, sur fond de grève des profs de philo. Une fin d’année à l’image de la réforme Blanquer : foirée.
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Ces nouvelles épreuves cristallisent la colère avec des appels à la grève. Au lycée Mounier, elles débutent ce mardi. Enfin, normalement.
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Entre choix des options, premiers exams et exercice attentat, les premières du lycée Mounier, à Grenoble, ont l’angoisse au ventre.
C’est jour d’élection des délégués au lycée Mounier, à Grenoble. Au cœur des préoccupations des candidats : la réforme du bac.
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