Denier du culte agressif, séminaire coûteux, création d’un fonds de placement… Les Saint-Martin auraient-ils un rapport malsain à l’argent ?
Denier du culte agressif, séminaire coûteux, création d’un fonds de placement… Les Saint-Martin auraient-ils un rapport malsain à l’argent ?
Tous les samedis, le dessinateur Loïc Sécheresse tire un trait sur l’actu. Aujourd’hui, vous avez demandé les urgences, ne quittez pas.
Tous les samedis, le dessinateur Loïc Sécheresse tire un trait sur l’actu. Aujourd’hui, les anges de la finance à la rescousse de la planète.
Grand collectionneur d’art, il finançait le rapatriement en Afrique d’œuvres spoliées. Les « Luanda Leaks » viennent de le rattraper.
Contre 4,6 millions, l’école va débaptiser une cour de son futur campus. Et une riche Américaine décédée en 2014 aura « son » jardin.
Pour lever des fonds, de plus en plus d’établissements baptisent salles et bâtiments du nom de leurs donateurs. Rien ne les arrête.
Un an après le début du mouvement, « Les Jours » retrouvent Élodie et Jacky, du rond-point de Voreppe : désillusion et mobilisation.
Créé par Anne Hidalgo, le Fonds pour Paris pousse au mélange des genres entre l’argent de riches mécènes et le patrimoine public.
L’Oréal, Engie ou encore Suez participent au financement du sommet mondial de Biarritz. Une générosité tout à fait intéressée.
Le musée s’est embourbé dans un contrat de mécénat avec les Sackler, accusés d’avoir créé la crise des opioïdes aux États-Unis.
L’avantage fiscal offert aux gentils donateurs disparaîtra-t-il ? « Les Jours » décodent les signaux contradictoires de l’exécutif.
Ses investissements dans la culture font de Maja Hoffmann la vraie boss de la capitale camarguaise, éclipsant les politiques.
Visites particulières, privatisations… Les généreux mécènes négocient dur avant de verser leur obole aux causes qu’ils défendent.
La collecte pour Notre-Dame l’a montré, PDG et milliardaires rivalisent pour dégainer leur chéquier. Mais pourquoi tant de bonté ?
Jacky et ses compagnons de Voreppe ont joué le jeu du grand débat avec une députée macroniste. Qui a écouté, pas forcément entendu.
Il aurait dû recueillir la parole des Français dans un bel élan de participation citoyenne. Las, il oriente vers les choix macroniens.
Ces événements se déroulent en temps réel : Macron promet 100 euros, les gilets jaunes fulminent, les interpellés sont condamnés.
Quasi-résurrection de l’ISF, violences dans les beaux quartiers de Paris… Avec les gilets jaunes, les riches ont failli trembler.