Après un été sur la brèche, septembre sera bouillant. Pépites, nouvelles têtes et tableau blanc : c’est l’épisode 46 des « Dessous des “Jours” ».
Après un été sur la brèche, septembre sera bouillant. Pépites, nouvelles têtes et tableau blanc : c’est l’épisode 46 des « Dessous des “Jours” ».
Comme dans une secte, les recrues des formations de trading sont endoctrinées. S’en échapper et se reconstruire est incroyablement dur.
À Dubaï, les leaders des formations de trading mènent la grande vie et échappent à l’État français : champagne, Rolls-Royce et… zéro fisc.
Certaines sociétés se réclament du marketing multiniveau pour cacher leurs activités de vente pyramidale, pratique interdite en France.
Manipulation mentale, rupture avec l’entourage… Les « communautés d’éducation financière » ont tout du mouvement sectaire, gourous compris.
Au mieux, les jeunes recrues de ces formations en carton acquièrent du vocabulaire financier. Au pire, elles perdent tout.
Malgré leur vitrine, les groupes pyramidaux ne forment pas au trading : ils piègent des étudiants pour qu’ils recrutent à leur tour.
« Devenez riche grâce au trading ! » : « Les Jours » enquêtent sur les systèmes pyramidaux du marketing sectaire.
Au terme de cette enquête, on peut le dire : les cosmétiques ont un effet riquiqui sur la peau. Sur le cerveau, en revanche…
Pour attirer et rassurer l’acheteur, le marketing de la cosmétique pour hommes surjoue la virilité et la testostérone.
Les cosmétiques français ont réussi à s’imposer sur le marché japonais, pourtant très fermé aux marques étrangères.
On les croit plus sains et plus sûrs, mais on sous-estime les risques pour la santé des cosmétiques bios ou naturels.
Parce qu’il n’y a pas de définition claire de ce qu’est un cosmétique bio, une partie de l’industrie fait n’importe quoi.
Les cosmétiques à base de plantes sont devenus un juteux filon marketing. Lush, Caudalie et Yves Rocher l’ont bien compris.
Stress, burn-out : « Les Jours » publient une étude accablante sur le mal-être des salariés du géant des cosmétiques.
Derrière le succès des marques de cosmétiques françaises se cachent une myriade de sous-traitants anonymes mais florissants.