
Prof, vigneron, chômeuse… Pendant la campagne, les personnages des séries des « Jours » deviennent « Les électeurs ».
Prof, vigneron, chômeuse… Pendant la campagne, les personnages des séries des « Jours » deviennent « Les électeurs ».
Rencontre autour de la loi travail avec Mauvaise Troupe, dont les livres racontent les luttes de ces quinze dernières années.
Après les raffineries, le syndicat interdit l’accès à l’incinérateur de déchets d’Ivry, point stratégique pour « paralyser l’économie ».
Membres de l’Action antifasciste Paris-banlieue, du Mili ou de rien du tout, ils répondent aux questions des « Jours ».
Éreinté, un policier raconte les mobilisations contre la loi travail côté casques et boucliers.
L’étincelle s’éteint-elle ou prend-elle des chemins de traverse ? Le recours au 49-3 pourrait vite donner la réponse.
Aujourd’hui, c’est le 71 mars ! L’heure pour Nuit debout de se frotter à l’étape du concret. La voici en illustrations.
À l’occasion du 1er mai – ou du 62 mars –, l’illustratrice Pauline Aubry retrace le mouvement né place de la République à Paris.
Séance de porte-à-porte à Besançon avec la députée PS Barbara Romagnan entre incompréhensions, doutes et pédagogie politique.
Les manifestants contre la loi travail découvrent – ou retrouvent – les armes de la police. Amélie a porté plainte à l’IGPN pour un nez cassé.
Laisser parler tout le monde ? Lundi, après l’incident avec Finkielkraut, Nuit debout a débattu de la liberté d’expression.
De la Nuit debout au tribunal. Mardi, quatre jeunes étaient jugés en comparution immédiate pour violences volontaires contre la police.
On voulait suivre l’intégralité d’une AG de la Nuit debout parisienne. Une manif sauvage pour soutenir les migrants en a décidé autrement.
À la sixième Nuit debout place de la République à Paris, rencontre avec Sophia, de Neuilly, et Martin le médecin.