À partir de 2014, une nouvelle juge prend le « cold case » en main. Elle réexamine toutes les pistes et un profil se précise…
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Petit, je veux faire un métier qui me permet de découvrir le monde. Plus grand, je m’intéresse à la politique, à la jeunesse, au ski extrême ou encore aux crêpes bretonnes beurre-sucre. À 19 ans, je fais l’EMI-CFD et deviens photojournaliste. J’aime travailler en commande et plusieurs dizaines de journaux et clients me font confiance depuis. Je considère la photographie comme un moyen d’engagement et d’activisme. À ce titre, j’en revendique la nature subjective et son pouvoir d’offrir des regards singuliers sur la réalité. J’ai aujourd’hui 29 ans. Je vis à Paris où je travaille à vélo, mais j’adore prendre le train pour Rhône-Alpes, ma région d’origine, où je passe la moitié de mon temps. Et si vous avez envie de m’envoyer à l’étranger, l’avion ou le cargo ne me font pas peur.
À partir de 2014, une nouvelle juge prend le « cold case » en main. Elle réexamine toutes les pistes et un profil se précise…
Le 16 mai 2007, Jean-Paul V., Philippe M., Ivan I. et Richard C. devaient maintenir l’ordre. Une étudiante a perdu un œil.
En 2017, le candidat a baissé d’un ton. Une stratégie très calculée. Son équipe, elle, a ressorti les hologrammes ce mardi.
En 2005, près de vingt ans après la mort de Cécile Bloch, les enquêteurs lancent une opération de la dernière chance…
Quinze ans après le meurtre de Cécile Bloch par le Grêlé, la police intègre une profileuse pour relancer la traque du « serial killer ».
En 1997, plus de dix ans après les faits, l’assassin de Cécile Bloch court toujours. La crim’, elle, multiplie les pistes.
En 1996, dix ans après la mort de Cécile Bloch, l’ADN de son assassin est isolé. Enfin un coup de fouet pour l’enquête ?
En 1994, huit ans après la mort de Cécile Bloch, un homme kidnappe une fillette et la conduit dans une ferme de l’Essonne.
En 1987, un an après le meurtre de Cécile Bloch, les corps d’une jeune Allemande et de son employeur sont retrouvés à Paris.
Plusieurs témoins ont croisé le suspect numéro 1 du meurtre de Cécile Bloch. La police va pouvoir tirer son portrait-robot.
Pierre Morel a suivi la COP21 pour « Les Jours ». Il nous raconte son quotidien durant les douze jours de cet événement.
« Les Jours » aiment les photographies et les photographes. Précis de notre politique de l’image.
Très présentes à la conférence de Paris, les multinationales ont adopté une communication subtile. Ce qui leur a permis de « greenwasher » en toute tranquillité.
Pendant la COP21, entreprises et ONG ont cherché à séduire l’opinion publique
en diffusant des messages simples, mais elles ont évité les débats qui pourraient les mettre en porte-à-faux.
Financé par les entreprises, ce think tank qui veut « décarboner » l’économie est un outil bien pratique pour communiquer sur leurs engagements climatiques.
À la tête de Total depuis décembre 2014, Patrick Pouyanné s’affiche comme un homme sympa et ouvert aux questions climatiques. Mais l’intérêt de son entreprise passe avant tout.
Les entreprises françaises promettent de se désengager de l’énergie fossile la plus polluante pour apparaître irréprochables le temps de la COP.