La Syrie, la Grèce, la France… Les Jaamour vont devoir quitter Saint-Nazaire, où ils commençaient à prendre leurs marques.
Son rôle dans la série.
Son ombre plane sur les récits de la famille Jaamour. Mais Houmam n’est pas là. Né le 2 février 1998, il a fui, seul, la Syrie en guerre le 18 novembre 2015. Il était menacé d’être envoyé au service militaire car il n’était pas bon élève. Il est arrivé en Allemagne le 10 décembre. « Mon père connaît toutes les dates de son trajet ; il a suivi de près ! », souligne Tammam. Aujourd’hui, la communication entre le fils et ses parents, et entre les frères, se fait par téléphone. « C’est le plus drôle de la famille. »
Par Fabien Perrier
Son rôle dans la série.
Son ombre plane sur les récits de la famille Jaamour. Mais Houmam n’est pas là. Né le 2 février 1998, il a fui, seul, la Syrie en guerre le 18 novembre 2015. Il était menacé d’être envoyé au service militaire car il n’était pas bon élève. Il est arrivé en Allemagne le 10 décembre. « Mon père connaît toutes les dates de son trajet ; il a suivi de près ! », souligne Tammam. Aujourd’hui, la communication entre le fils et ses parents, et entre les frères, se fait par téléphone. « C’est le plus drôle de la famille. »
Par Fabien Perrier
La Syrie, la Grèce, la France… Les Jaamour vont devoir quitter Saint-Nazaire, où ils commençaient à prendre leurs marques.
À Saint-Nazaire, une association épaule les Jaamour. Mais des bénévoles sont là aussi. De bonne volonté, mais envahissants.
Houmam a demandé l’asile en Allemagne ; sa famille, en France. Depuis, ils voient leurs retrouvailles repoussées.
Pour les enfants de cette famille syrienne qui vient d’arriver à Saint-Nazaire, la rentrée des classes est délicate.
En attendant d’obtenir l’asile, la famille syrienne prend doucement ses marques à Saint-Nazaire.
Mardi, les Jaamour sont arrivés à Saint-Nazaire. Pour cette famille qui a fui la Syrie, c’est la fin du périple.
Les Jaamour découvrent enfin le nom de la ville de l’Hexagone où ils vont être relocalisés. Départ ce mardi.
Le gouvernement grec a organisé une université d’été pour une vingtaine d’étudiants réfugiés dont l’aîné des Jaamour.
La famille était très aisée en Syrie ; réfugiée en Grèce depuis six mois, elle doit désormais compter le moindre sou.
Les Jaamour doivent être accueillis en France. Comme tous les réfugiés, cette famille syrienne a dû passer des entretiens poussés.
Houmam, le premier des Jaamour à avoir fui la Syrie, s’inquiète : il est réfugié en Allemagne, sa famille pourrait s’installer en France.
Les Jaamour ont reçu une offre de « relocalisation » en France, mais la procédure n’est pas terminée pour la famille syrienne.
Le deuxième des enfants de la famille a quitté la Syrie le premier et a gagné l’Allemagne. Voici le récit de son périple.
Les Jaamour, réfugiés syriens, font tant bien que mal le ramadan en Grèce. Pendant ce temps, les néonazis d’Aube dorée rôdent.
Les Jaamour souhaitent être relocalisés dans l’UE. Mais où ? « Les Jours » ont assisté aux entretiens qui en décideront.
S’appuyer sur le HCR ? Miser sur la relocalisation ? Que faire pour qu’Athènes ne devienne pas un cul-de-sac ?
Stand-by au terminal E1 du Pirée. La famille de réfugiés syriens tue le temps et désespère de rejoindre l’Allemagne.