La Syrie, la Grèce, la France… Les Jaamour vont devoir quitter Saint-Nazaire, où ils commençaient à prendre leurs marques.
Son rôle dans la série.
La première chose qui frappe chez le troisième de la fratrie, né le 26 mars 2001, c’est son sourire qui ne le quitte quasiment jamais. En Syrie, il était très bon élève. « Il est très intelligent », souligne son frère Tammam. Son rêve ? « Être footballeur professionnel. » À Salamyeh, la ville d’origine des Jaamour, il était le capitaine de l’équipe locale.
Par Fabien Perrier
Son rôle dans la série.
La première chose qui frappe chez le troisième de la fratrie, né le 26 mars 2001, c’est son sourire qui ne le quitte quasiment jamais. En Syrie, il était très bon élève. « Il est très intelligent », souligne son frère Tammam. Son rêve ? « Être footballeur professionnel. » À Salamyeh, la ville d’origine des Jaamour, il était le capitaine de l’équipe locale.
Par Fabien Perrier
La Syrie, la Grèce, la France… Les Jaamour vont devoir quitter Saint-Nazaire, où ils commençaient à prendre leurs marques.
À Saint-Nazaire, une association épaule les Jaamour. Mais des bénévoles sont là aussi. De bonne volonté, mais envahissants.
À Saint-Nazaire, le père et la mère de cette famille syrienne prennent des cours de français. Une nécessité.
Pour les enfants de cette famille syrienne qui vient d’arriver à Saint-Nazaire, la rentrée des classes est délicate.
En attendant d’obtenir l’asile, la famille syrienne prend doucement ses marques à Saint-Nazaire.
Mardi, les Jaamour sont arrivés à Saint-Nazaire. Pour cette famille qui a fui la Syrie, c’est la fin du périple.
Les Jaamour découvrent enfin le nom de la ville de l’Hexagone où ils vont être relocalisés. Départ ce mardi.
Le gouvernement grec a organisé une université d’été pour une vingtaine d’étudiants réfugiés dont l’aîné des Jaamour.
La famille était très aisée en Syrie ; réfugiée en Grèce depuis six mois, elle doit désormais compter le moindre sou.
Houmam, le premier des Jaamour à avoir fui la Syrie, s’inquiète : il est réfugié en Allemagne, sa famille pourrait s’installer en France.
Les Jaamour ont reçu une offre de « relocalisation » en France, mais la procédure n’est pas terminée pour la famille syrienne.
Le deuxième des enfants de la famille a quitté la Syrie le premier et a gagné l’Allemagne. Voici le récit de son périple.
Les Jaamour souhaitent être relocalisés dans l’UE. Mais où ? « Les Jours » ont assisté aux entretiens qui en décideront.
Les Jaamour attendent un rendez-vous avec le service d’asile grec… en vidéo et sur un ordinateur pris d’assaut.