Depuis trente-sept ans, la famille de Grégory Villemin mise sur les progrès de la forensique pour tenter d’obtenir des réponses.
Depuis trente-sept ans, la famille de Grégory Villemin mise sur les progrès de la forensique pour tenter d’obtenir des réponses.
En 2016, un cadavre non identifié est découvert dans le Jura. Les gendarmes vont partir du crâne pour établir un portrait-robot génétique.
L’ADN a parlé : François Vérove, l’ex-gendarme qui s’est suicidé mercredi, est bien le tueur et violeur en série recherché depuis 1986.
Près de 35 ans après le meurtre d’Isabelle Mesnage, le verdict est tombé. Malgré les interrogations qui entourent ce trop vieux cold case.
Le 3 juillet 1986, un corps de femme est découvert. Ce mardi, Jacques Rançon est dans le box des accusés. Il a failli ne jamais l’être.
Le 8 juin s’ouvre à Amiens un nouveau procès pour le tueur de Perpignan. Un « cold case » qui dormait depuis 1986, un de plus.
Ou comment l’étude des dents des victimes a permis d’éclairer les circonstances du quintuple meurtre du Grand-Bornand, en 2003.
Les diatomées sont des auxiliaires de justice : retrouvées dans les organes d’un cadavre, ces plantes permettent d’attester une noyade.
Que sont-ils devenus ? Des étudiants-ingénieurs ont créé des applis afin d’aider le CICR à identifier les migrants morts en Méditerranée.
En 2005, le cadavre d’une femme est retrouvé dans une valise. La date du décès ? Inconnue… jusqu’à ce que des mouches entrent en scène.
Près de dix ans après le meurtre, un gendarme a l’idée d’explorer une technique, alors inédite en France, de comparaison d’ADN. Banco.
« Les Jours » s’installent dans le labo de la gendarmerie, pour raconter de l’intérieur comment la science aide à résoudre les meurtres.
ADN, algorithmes, reconnaissance faciale… José Pablo Baraybar, légiste, cherche à rendre leurs noms aux noyés en Méditerranée.
Pour identifier les migrants morts en mer, l’ADN est la donnée la plus fiable. Mais aussi la plus sensible.
Trente ans après la mort de Cécile Bloch, les policiers refont l’enquête et imaginent ce qu’a pu devenir le Grêlé.
En 2005, près de vingt ans après la mort de Cécile Bloch, les enquêteurs lancent une opération de la dernière chance…
En 2001, quinze ans après la mort de Cécile Bloch, une singulière profileuse belge lance une enquête parallèle.
Quinze ans après le meurtre de Cécile Bloch par le Grêlé, la police intègre une profileuse pour relancer la traque du « serial killer ».
En 2001, la crim’ en est sûre, le Grêlé a aussi assassiné une jeune Allemande. Qui a inscrit un nom étrange sur un carnet…
En 1997, plus de dix ans après les faits, l’assassin de Cécile Bloch court toujours. La crim’, elle, multiplie les pistes.