L’avocate de Sarkozy charge son équipe, qui charge Bygmalion, qui charge… Personne n’assume la fraude. Encore. Décision le 30 septembre.
L’avocate de Sarkozy charge son équipe, qui charge Bygmalion, qui charge… Personne n’assume la fraude. Encore. Décision le 30 septembre.
Un an de prison dont six mois ferme ont été requis contre l’ancien Président, dont le parquet a dénoncé la « totale désinvolture ».
S’il concède une « responsabilité politique », l’ancien Président rejette la faute sur l’UMP de Jean-François Copé et les prestataires.
Après trois semaines de dérobades, beaucoup de questions restent sans réponses. Bilan avant l’interrogatoire de Nicolas Sarkozy ce mardi.
Entendu comme témoin, il ne savait rien en 2012, a beaucoup souffert ensuite et se demande désormais à qui a profité le délit…
Le directeur de la campagne de Nicolas Sarkozy en 2012 s’occupait de tout mais assure n’avoir jamais rien su de la double facturation.
Il avait avoué, il n’a pas recommencé. L’ex-directeur de campagne adjoint ne reconnaît plus qu’un bidouillage des comptes a posteriori.
Au tribunal, trois anciens cadres du parti ont joué la même partition : celle de responsables qui ne sont responsables de rien.
Le fondateur de Bygmalion a subi les questions du tribunal sans convaincre qu’il ne savait rien de la carambouille électorale de 2012.
L’organisateur des meetings de Sarkozy s’est défini comme une « courroie de transmission ». Dans un système frauduleux connu de tous.
L’ancien secrétaire général de l’UMP pouvait-il vraiment ne rien savoir des dépenses de campagne ? Malgré un non-lieu, le doute persiste.
Quinze jours après sa condamnation dans l’affaire des écoutes, Sarkozy comparaît à partir de ce mercredi pour ses comptes de campagne de 2012.
À la faveur d’un vote d’adhésion pour Fillon au premier tour de la primaire de droite, revoilà ce vieux truc qui bouge.
Replay. « Les Jours » ont raconté la soirée du premier tour de la primaire de droite remporté par François Fillon.
Les journalistes vivent dans un entre-soi, loin du peuple. C’est l’antienne chantée par de plus en plus de politiques.
La deuxième joute de la droite s’est déroulée sur BFMTV ainsi que sur i-Télé, qui aborde son 19e jour de grève.
Replay. Ressortez les pop-corns : « Les Jours » ont raconté en live le débat de la primaire de droite.
Les poids lourds de la primaire étaient conviés à un raout managérial cette semaine. « Les Jours » ne pouvaient rater ça.