Les Russes ne sont pas encore entrés dans cette ville, nœud stratégique du Donbass, mais son cimetière le raconte : elle est déjà condamnée.
Les Russes ne sont pas encore entrés dans cette ville, nœud stratégique du Donbass, mais son cimetière le raconte : elle est déjà condamnée.
Info « Les Jours ». À la Cour nationale du droit d’asile, la magistrate Isabelle Agier produit à elle seule 10 % des ordonnances de rejet… sans jamais tenir d’audience.
Jean-Marie Argoud est écarté de la CNDA. « Les Jours » ont révélé ses opinions islamophobes, antisémites et homophobes partagées sur les réseaux.
Info « Les Jours ». Chargé de statuer sur les demandes d’asile, Jean-Marie Argoud affiche ses opinions islamophobes, antisémites et homophobes sur les réseaux.
Un an de guerre (3/3). Barrages, cocktails Molotov, tranchées : dès le 25 février 2022, la capitale ukrainienne se prépare à l’assaut russe.
Espérant changer le cours de la guerre, l’armée russe frappe désormais tout le pays. Du jamais vu depuis le début de l’invasion.
Olga et Alexander habitaient la ville ukrainienne, aujourd’hui ravagée. Ils racontent le siège, les déplacements forcés en Russie, l’exil.
Comme les Ukrainiens après eux, les Afghans suivis par « Les Jours » ont rapidement obtenu le statut de réfugiés. Une exception.
À Boutcha et Borodianka, les survivants recherchent les corps de leurs proches et racontent l’horreur de l’occupation russe. Reportage.
Maïdan, Crimée, Donbass : 2014 a divisé les prorusses et les partisans d’une souveraineté nationale. C’est l’histoire d’Anna et Ludmila.
Même visés par les Russes, les habitants de la ville de l’Ouest de l’Ukraine continuent à remplir les rues. Et à se préparer au combat.
Dans l’Ouest de l’Ukraine, un bourg de 800 habitants se mobilise pour accueillir les déplacés de l’Est et affronter l’armée de Poutine.
Pour fuir la guerre, ils ont laissé leurs vies derrière eux. Reportage des deux côtés de la frontière polonaise.
Les rues sûres et l’indifférence générale amortissent leur peine. Les Afghans suivis par « Les Jours » se font peu à peu à l’exil.
À la Cour nationale du droit d’asile, les recours ont explosé, les délais ont été raccourcis… et les agents serrent les dents.
Si l’Ofpra les a déboutés, les migrants peuvent encore faire appel à la Cour nationale du droit d’asile. Une juridiction surchargée.
Face à la violence des récits des migrants et à la dureté de l’Office, les agents ont le choix entre s’endurcir… ou démissionner.
Traiter les demandes d’asile à l’Ofpra, une drôle d’idée ? Des agents dévoilent leurs motivations, la formation… et ses carences.
« Les Jours » ont eu accès à la feuille de route ultrasecrète des entretiens avec les demandeurs d’asile russes.