Des journalistes menacés de licenciement s’ils ne se désolidarisent pas d’un humoriste ? Ce n’est pas un coup de sang, c’est un système.
Des journalistes menacés de licenciement s’ils ne se désolidarisent pas d’un humoriste ? Ce n’est pas un coup de sang, c’est un système.
Le commentateur vedette est licencié pour « déloyauté » après un message de soutien à Sébastien Thoen, éjecté pour avoir parodié CNews.
Sébastien Thoen et maintenant le commentateur vedette du foot : Canal+ exerce menaces et chantage sur ceux qui les soutiennent.
Pressée de virer 20 % des effectifs, la direction a fini par accepter de relever le montant des indemnités de départ.
Le 4 novembre 1984 naissait la chaîne cryptée. 35 ans, un Bolloré et un plan social plus tard, les salariés disent leur désamour.
Nouvelle AG à Canal+ après l’interruption des négociations avec la direction. En cause : des indemnités de départ insuffisantes.
Il a ressuscité « Les Guignols » ce vendredi pour un best of Chirac. Après les avoir tués car trop politiques. Folie.
Vendre de nouvelles têtes à 20 heures dans « Clique », quelle bonne idée. Mais moins que refourguer sans vergogne la galaxie Bolloré.
« Les Jours » se sont procuré le script du pilote américain des « Guignols », tourné par une équipe en cours de licenciement.
D’un côté, un plan social enclenché ; de l’autre, un projet d’adaptation américaine. Et au milieu, une équipe désemparée.
Choisie par Bolloré en 2015, virée pour faute grave en 2016, l’animatrice attaque Canal+ aux prud’hommes. Récit d’audience.
« Les Jours » se sont procuré un rapport confidentiel qui fait l’autopsie du groupe, saigné par l’homme d’affaires depuis 2015.
La question obsède l’équipe : après la fin de l’émission, que vont devenir les marionnettes ? Bolloré, lui, a récupéré la sienne.
Jeudi, une semaine après la suppression de l’émission, c'était la dernière fête des marionnettes. « Les Jours » étaient là.
Info « Les Jours ». Bolloré les faisait agoniser depuis trois ans. Cette fois, c’est fini : Canal+ supprime « Les Guignols ».
Crime de latex (2/2). « Les Jours » publient le sketch des « Guignols », commandé par Bolloré, et qui signe son emprise sur Canal+.
Crime de latex (1/2). « Les Jours » se sont procuré le document interne qui a totalement dézingué l’émission-phare de Canal+.
Baisse des coûts, vague de départs, humour affligeant : Bolloré est en train d’achever les marionnettes emblématiques de Canal+.
Le CSA inflige à C8 une amende de trois millions d’euros pour le sketch homophobe de « Touche pas à mon poste ».
Dans la famille Bolloré, nous demandons le fils, Yannick, qui doit prendre la succession de son père à la tête de « L’empire ».
Grille de rentrée à l’économie, droits d’auteur plus payés depuis six mois : l’homme d’affaires organise la pénurie.
Selon les documents que se sont procurés « Les Jours », c’est le coût du coupage de têtes à Canal+ en 2015.
Première victime expiatoire de l’ère Bolloré, l’ancien numéro 2 de Canal+ est un pragmatique discret.