C’est enfin l’heure des résultats pour les élèves suivis par « Les Jours » depuis deux ans, et l’heure du bilan pour la réforme covidée.
Son rôle dans la série.
Il a cherché sa voie en faisant des études d’histoire, il l’a trouvée en étant surveillant dans l’internat d’un lycée professionnel de Haute-Savoie. En 1999, il passe le concours de conseiller principal d’éducation avant d’être muté en région parisienne, à Clichy-la-Garenne. « J’ai aimé tout de suite ce métier. J’ai grandi dans la Drôme à la campagne et là, j’étais dans un lycée au milieu de la cité, c’était hyper intéressant », raconte-t-il. Il revient ensuite dans la région, dans un collège rural à une demi-heure de Grenoble : « J’ai découvert des élèves parfois plus tristes qu’à Paris, j’ai été surpris par certaines situations. » Dix ans plus tard, il est nommé à Mounier.
Le talent du CPE, c’est selon lui de « toujours mesurer ce qu’il dit » : « Il faut avoir du sang-froid, être dans l’écoute sans forcément adhérer. Il n’y a aucune routine, on travaille en équipe à la croisée des chemins entre les profs, l’équipe administrative, les services sociaux, les parents et les élèves. » Guillaume Leyral est fier de ne pas être là « que pour régler des problèmes » : il participe avec la documentaliste du lycée à l’organisation des sorties au cinéma et aux spectacles de la Maison de la culture (MC2) voisine. Ses journées sont scandées par la cloche du lycée et les sonneries des téléphones du bureau de la « vie scolaire ». Pour décrocher, le quadra s’échappe quand il peut dans une vieille ferme familiale, en Ardèche. Histoire d’écouter cette fois le « silence complet ».
Son rôle dans la série.
Il a cherché sa voie en faisant des études d’histoire, il l’a trouvée en étant surveillant dans l’internat d’un lycée professionnel de Haute-Savoie. En 1999, il passe le concours de conseiller principal d’éducation avant d’être muté en région parisienne, à Clichy-la-Garenne. « J’ai aimé tout de suite ce métier. J’ai grandi dans la Drôme à la campagne et là, j’étais dans un lycée au milieu de la cité, c’était hyper intéressant », raconte-t-il. Il revient ensuite dans la région, dans un collège rural à une demi-heure de Grenoble : « J’ai découvert des élèves parfois plus tristes qu’à Paris, j’ai été surpris par certaines situations. » Dix ans plus tard, il est nommé à Mounier.
Le talent du CPE, c’est selon lui de « toujours mesurer ce qu’il dit » : « Il faut avoir du sang-froid, être dans l’écoute sans forcément adhérer. Il n’y a aucune routine, on travaille en équipe à la croisée des chemins entre les profs, l’équipe administrative, les services sociaux, les parents et les élèves. » Guillaume Leyral est fier de ne pas être là « que pour régler des problèmes » : il participe avec la documentaliste du lycée à l’organisation des sorties au cinéma et aux spectacles de la Maison de la culture (MC2) voisine. Ses journées sont scandées par la cloche du lycée et les sonneries des téléphones du bureau de la « vie scolaire ». Pour décrocher, le quadra s’échappe quand il peut dans une vieille ferme familiale, en Ardèche. Histoire d’écouter cette fois le « silence complet ».
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Jeudi, Jean-Michel Blanquer a mis fin au suspense et annulé l’oral de français. Une pilule douce-amère pour le lycée Mounier, à Grenoble.
Épreuves du bac en suspens, conseil de classe virtuel : le coronavirus s’invite dans une année déjà mouvementée pour la 1ère G4.
Info « Les Jours ». Ce rituel trimestriel va être réformé pour s’adapter au nouveau bac. Exemple au lycée Mounier, à Grenoble.
Entre choix des options, premiers exams et exercice attentat, les premières du lycée Mounier, à Grenoble, ont l’angoisse au ventre.
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