L’annulation des épreuves de spécialité est un bref répit pour le lycée Mounier, pris dans le casse-tête de la réforme et du coronavirus.
Son rôle dans la série.
Âgé de 59 ans, il a commencé instit dans son « pays », la Drôme, avant de se mettre en disponibilité pour monter dans un avion « avec sa petite valise », direction la Polynésie. « J’ai atterri à 3 heures du matin et j’ai signé un contrat à 7 h 15, j’ai été au chômage pendant quatre heures et quart ! », rigole-t-il. Durant un an, en 1989, il fait ainsi la classe sur un atoll perdu du Pacifique. Retour à Paris, dans une école privée de coiffure, pour enseigner les maths, le français et le droit du travail. Puis il arrive à Grenoble, où il découvre l’éducation spécialisée, « du cousu main avec des gamins bouge-bouge plus ». Au milieu des années 1990, il est nommé dans un collège REP d’Échirolles, en banlieue de Grenoble, en Segpa : « Je me suis dit : “C’est ça que je veux faire.” J’ai trouvé ça génial. » Il reste dans cette filière plus de quinze ans, alternant différents établissements, grimpant les échelons. En 2014, il réussit le concours de personnel de direction et obtient en 2017 le poste de proviseur adjoint au lycée Emmanuel-Mounier. Dans sa valise, il y a toujours quelques cravates fantaisie et son saxophone, qu’il pratique assidûment au sein d’un orchestre années 1940.
Son rôle dans la série.
Âgé de 58 ans, il a commencé instit dans son « pays », la Drôme, avant de se mettre en disponibilité pour monter dans un avion « avec sa petite valise », direction la Polynésie. « J’ai atterri à 3 heures du matin et j’ai signé un contrat à 7 h 15, j’ai été au chômage pendant quatre heures et quart ! », rigole-t-il. Durant un an, en 1989, il fait ainsi la classe sur un atoll perdu du Pacifique. Retour à Paris, dans une école privée de coiffure, pour enseigner les maths, le français et le droit du travail. Puis il arrive à Grenoble, où il découvre l’éducation spécialisée, « du cousu main avec des gamins bouge-bouge plus ». Au milieu des années 1990, il est nommé dans un collège REP d’Échirolles, en banlieue de Grenoble, en Segpa : « Je me suis dit : “C’est ça que je veux faire.” J’ai trouvé ça génial. » Il reste dans cette filière plus de quinze ans, alternant différents établissements, grimpant les échelons. En 2014, il réussit le concours de personnel de direction et obtient en 2017 le poste de proviseur adjoint au lycée Emmanuel-Mounier. Dans sa valise, il y a toujours quelques cravates fantaisie et son saxophone, qu’il pratique assidûment au sein d’un orchestre années 1940.
L’annulation des épreuves de spécialité est un bref répit pour le lycée Mounier, pris dans le casse-tête de la réforme et du coronavirus.
Bac Blanquer, Parcoursup, enseignement supérieur… Le compte à rebours est lancé pour les terminales du lycée Mounier à Grenoble.
Les lycées restent ouverts, annonce Jean-Michel Blanquer qui garde l’objectif de 50 % de cours à distance. À Grenoble, on tente de suivre…
Corps changés, visages masqués et la réforme Blanquer toute l’année. « Les Jours » font leur rentrée en terminale G4 au lycée Mounier.
Jeudi, Jean-Michel Blanquer a mis fin au suspense et annulé l’oral de français. Une pilule douce-amère pour le lycée Mounier, à Grenoble.
Épreuves du bac en suspens, conseil de classe virtuel : le coronavirus s’invite dans une année déjà mouvementée pour la 1ère G4.
L’année s’achève sur un plateau-repas (un peu) festif pour les 1ères G4 alors que se dessinent déjà les épreuves de contrôle continu.
Info « Les Jours ». Ce rituel trimestriel va être réformé pour s’adapter au nouveau bac. Exemple au lycée Mounier, à Grenoble.
Entre choix des options, premiers exams et exercice attentat, les premières du lycée Mounier, à Grenoble, ont l’angoisse au ventre.
Choisir des cours en plus ? Avec le nouvel examen, ça ne paye plus, constatent parents et élèves du lycée Mounier, à Grenoble.
C’est jour d’élection des délégués au lycée Mounier, à Grenoble. Au cœur des préoccupations des candidats : la réforme du bac.