Dans son rapport sorti ce lundi, le Centre national de la musique admet que la fraude des plus gros échappe encore aux plateformes.
Son rôle dans la série.
Le Snep est le représentant des plus grandes maisons de disques en France : Universal Music, Warner Music et Sony, mais aussi quelques labels indépendants. Ses membres représentant près de 80 % des revenus de la musique dans le pays, le Snep s’est attribué le rôle de baromètre du secteur en publiant chaque semaine le classement des meilleures ventes dans son réseau et, chaque année, un état des lieux de l’industrie. Il distribue aussi les disques d’or ou de platine qui récompensent les disques les plus vendus. Le Snep est un lobby puissant qui trouve régulièrement écho à l’Assemblée nationale ou au Sénat. Il a notamment été un acteur de premier plan lors des débats et de la rédaction de la loi Hadopi, qui a créé le système français de riposte graduée contre les échanges hors marché sur internet. Il est dirigé par un conseil syndical de six membres élus pour deux ans.
Par Sophian Fanen
Son rôle dans la série.
Le Snep est le représentant des plus grandes maisons de disques en France : Universal Music, Warner Music et Sony. Ses membres représentant près de 80 % des revenus de la musique dans le pays, le Snep s’est attribué – faute d’un observatoire indépendant en charge de ce suivi – le rôle de baromètre du secteur en publiant chaque semaine le classement des meilleures ventes dans son réseau et, chaque année, un état des lieux de l’industrie. Il distribue aussi les disques d’or ou de platine qui récompensent les disques les plus vendus. Le Snep est un lobby puissant qui trouve régulièrement écho à l’Assemblée nationale ou au Sénat. Il a notamment été un acteur de premier plan lors des débats et de la rédaction de la loi Hadopi, qui a créé le système français de riposte graduée contre les échanges hors marché sur internet. Il est dirigé par un conseil syndical de six membres élus pour deux ans.
Par Sophian Fanen
Son rôle dans la série.
Le Snep est le représentant des plus grandes maisons de disques en France : Universal Music, Warner Music et Sony. Ses membres représentant près de 80 % des revenus de la musique dans le pays, le Snep s’est attribué – faute d’un observatoire indépendant en charge de ce suivi – le rôle de baromètre du secteur en publiant chaque semaine le classement des meilleures ventes dans son réseau et, chaque année, un état des lieux de l’industrie. Il distribue aussi les disques d’or ou de platine qui récompensent les disques les plus vendus. Le Snep est un lobby puissant qui trouve régulièrement écho à l’Assemblée nationale ou au Sénat. Il a notamment été un acteur de premier plan lors des débats et de la rédaction de la loi Hadopi, qui a créé le système français de riposte graduée contre les échanges hors marché sur internet. Il est dirigé par un conseil syndical de six membres élus pour deux ans.
Par Sophian Fanen
Son rôle dans la série.
Le Snep est le représentant des plus grandes maisons de disques en France : Universal Music, Warner Music et Sony. Ses membres représentant près de 80 % des revenus de la musique dans le pays, le Snep s’est attribué – faute d’un observatoire indépendant en charge de ce suivi – le rôle de baromètre du secteur en publiant chaque semaine le classement des meilleures ventes dans son réseau et, chaque année, un état des lieux de l’industrie. Il distribue aussi les disques d’or ou de platine qui récompensent les disques les plus vendus. Le Snep est un lobby puissant qui trouve régulièrement écho à l’Assemblée nationale ou au Sénat. Il a notamment été un acteur de premier plan lors des débats et de la rédaction de la loi Hadopi, qui a créé le système français de riposte graduée contre les échanges hors marché sur internet. Il est dirigé par un conseil syndical de six membres élus pour deux ans.
Par Sophian Fanen
Dans son rapport sorti ce lundi, le Centre national de la musique admet que la fraude des plus gros échappe encore aux plateformes.
La plateforme de streaming veut imposer le « user-centric payment system », un modèle économique jugé plus juste pour les artistes.
Le texte voté ce mardi par l’Europe va modifier la circulation de la culture en ligne, notamment sur YouTube. On vous explique tout.
Petits streams (6/6). La logique de la playlist force les labels à privilégier les œuvres courtes… ou à les découper. Une hérésie ?
Bling-stream (5/7). « Les Jours » révèlent que la prétendue triche massive aux fausses écoutes représente moins de 5 % des streams.
Bling-stream (4/7). Face à l’inexorable montée du streaming, le CD résiste mais est mal barré, et le vinyle a un coup à jouer.
Le streaming devenu roi, la filière musicale devait s’entendre sur le partage des revenus. En une nuit, tout a capoté.
La gonflette du streaming existe. Mais pour ces rappeurs, c’est un contre-feu des majors pour masquer leurs mauvais résultats.
Sous le streaming légal (1/2). Insatisfaits par l’offre, des puristes de la musique privilégient le bon vieux téléchargement.
La guerre de YouTube (2/2). Au-delà de l’argent, l’industrie musicale exige plus de contrôle sur les vidéos.
Cash-cash (1/2). La plateforme ne reverse que des miettes. Mais beaucoup de maisons de disques ne les réclament même pas.
Sous contrat (2/3). Les labels vont jusqu’à taxer les tournées. Exemple avec le contrat d’un candidat de « The Voice ».
Sous contrat (1/3). Le streaming a reconduit les clauses qui surprotègent certains labels aux dépens des artistes.
Rassembler le secteur, instaurer l’équité entre majors et petits labels… Le doux rêve d’un Centre national de la musique a été torpillé en 2012.
Pour 1 euro dépensé, qui récupère quoi ? Une datavisualisation pour comprendre.
Les coulisses de la mission Schwartz reflètent l’état de la musique : pratiques obsolètes et crispations sur le streaming.
Le streaming et son économie opaque creusent le fossé entre quelques artistes à succès et tous les autres.