Ce dimanche, les Turcs ont répondu « oui » au référendum mais à une très courte majorité. Une gifle pour Erdogan.
Ce dimanche, les Turcs ont répondu « oui » au référendum mais à une très courte majorité. Une gifle pour Erdogan.
Reportage exclusif du photographe Antonin Weber dans la rédaction de « Cumhuriyet », victime des purges d’Erdogan.
Chrono. Dimanche, les Turcs voteront, ou pas, les pleins pouvoirs au Président. Comment en est-on arrivé là ?
Citoyens, intellectuels, opposants politiques… Comment expliquer leur silence relatif face à l’ampleur de la répression.
Comptes bloqués, biens saisis, défiance des proches… En Turquie, on passe en quelques jours de la purge à la mort sociale.
Lettres de dénonciation, listes de suspects : en Turquie, des citoyens victimes de la purge sont arbitrairement arrêtés.
Les amendements à la Constitution votés au Parlement, bientôt soumis à référendum, conféreront les pleins pouvoirs à Erdogan.
Le retour de la torture en Turquie (2/2). Le pouvoir a sciemment fait sauter tous les garde-fous qui protégeaient les détenus.
Retour de la torture en Turquie (1/2). « Les Jours » racontent le calvaire d’Erol, enseignant arrêté après le putsch raté.
Opposants réels ou supposés, gülénistes, syndicalistes, journalistes… Depuis cet été, ils sont tous la cible du pouvoir turc.
L’universitaire Maya Arakon est, comme beaucoup de Turcs, victime de la purge qui suit le putsch raté. Elle a choisi de s’exiler.
Fethullah Gülen (4/4). Dès 2011, Erdogan n’a plus besoin de Gülen et ses disciples. Justice, médias : la purge commence en Turquie.
Fethullah Gülen (3/4). Les disciples du prédicateur, aujourd’hui victimes de la purge, ont un temps servi les ambitions du Président turc.
Fethullah Gülen (2/4). Médias, école, industrie : à partir des années 90, les disciples du prédicateur investissent tous les pans de la société turque.
Fethullah Gülen (1/4). Découvrez la saga sur le prédicateur turc exilé, qu’Erdogan accuse d’avoir fomenté le putsch raté.
Partisans d’Erdogan (2/2). Le soutien au Président est nourri par l’essor économique et un fort sentiment nationaliste.