Encore sonnés par la défaite, les ex-élus PS de l’Hérault cherchent du travail et des idées pour tenter de sauver le parti.
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Né en 1975, David Richard aborde la photographie à travers ses études de cinéma. Il cofonde en 2002 le collectif de photographes Transit, à Montpellier, qui rejoint en 2008 l’agence coopérative Picturetank, à Paris. David Richard travaille régulièrement avec la presse nationale et internationale ainsi qu’avec des institutions. Il poursuit également des projets personnels. Photographe documentaire et portraitiste, il s’intéresse particulièrement aux rapports que l’homme entretient avec le territoire, tant géographique que mental. Ses questionnements sur la représentation le conduisent à expérimenter des formes nouvelles et à revenir vers l’image animée, qu’il tente de faire dialoguer avec l’image fixe en lien avec les nouvelles technologies.
Encore sonnés par la défaite, les ex-élus PS de l’Hérault cherchent du travail et des idées pour tenter de sauver le parti.
Depuis 2012, le parti détenait sept des neuf circonscriptions de l’Hérault. Aucun de ses candidats ne sera au second tour.
Dans l’Hérault, les législatives vont sans doute se transformer en fiasco pour le parti. Dans les urnes et dans les caisses.
FN, En marche, gauche divisée… Christian Assaf, élu dans la vague de 2012, fait campagne sans amertume mais sans illusions.
Après les Bompard à Orange, les Mégret à Vitrolles, voici les Ménard à Béziers, où la femme du maire se présente aux législatives.
Défections, score de Hamon… Peu importe, à Montpellier, le PS veut croire à l’implantation de ses candidats aux législatives.
Pour ravir sa circonscription du Gard au député FN, En marche a investi l’ex-torera Marie Sara, qui découvre l’arène politique.
Ambiance funeste chez les socialistes : ils tractent pour Macron en attendant les législatives et l’inévitable guerre intestine.
Le bureau national, où s’est rendu le patron de la fédé de l’Hérault, a décidé… de s’unir face à Le Pen. La remise en cause attendra.
À la fédération de l’Hérault désertée, les militants socialistes sont sonnés, mais croient pouvoir encore peser.
Diaporama. L’élection présidentielle vue par les photographes des séries des « Jours ».
Les socialistes de l’Hérault anticipent la défaite de Hamon et s’interrogent sur la manière de sauver le parti et leurs mandats.
Ce vendredi à Montpellier, deux militants PS tractaient dans une cité. Ils n’y ont récolté qu’une indifférence polie.
Jeudi soir, le temps d’un meeting débridé, le candidat a galvanisé ses militants. Qui y ont cru, ou fait semblant d’y croire.
Les socialistes de l’Hérault ont organisé des cafés citoyens pour « vendre » le programme de Hamon. Dans un certain entre-soi.
Les socialistes de l’Hérault, divisés et, pour certains, démotivés, ont du mal à faire campagne pour leur candidat.
Les tractations de la gauche au niveau national résonnent dans l’Hérault, où le PS s’agite à l’approche des législatives.
À Montpellier comme ailleurs, la tentation macroniste existe mais elle est encore marginale. Pour l’instant…
Qui fera la campagne de Hamon ? Qui ralliera Macron ? À la « fédé » de l’Hérault, les armes sont rangées. Pour l’instant.
Le système de validation des votes à la primaire de la gauche a été cause d’erreurs au premier tour. Cas pratique dans l’Hérault.
L’enjeu de la participation à la primaire est crucial pour les socialistes. Dans les rues de Montpellier, ils battent le rappel.
Il n’y pas que des retraités au PS. Pour le meeting de Benoît Hamon à Montpellier, le MJS de l’Hérault était de sortie.
Chaque mois, la section PS du centre-ville de Montpellier se réunit au café. Mercredi, la primaire a agité les débats.