Il y a dix ans, par dépit amoureux, ce jeune Belge organisait sa disparition. Il s’est évaporé quinze mois durant, arpentant l’Europe à vélo.
Il y a dix ans, par dépit amoureux, ce jeune Belge organisait sa disparition. Il s’est évaporé quinze mois durant, arpentant l’Europe à vélo.
Les familles peinent trop souvent à récupérer le corps de leurs proches disparus à la frontière. Ils sont 44 à y avoir perdu la vie depuis un an.
En 2019, 39 Vietnamiens meurent dans une remorque. Une conséquence de l’environnement hostile aux exilés voulu par le gouvernement britannique.
Violences verbales et physiques, évacuations de camps déshumanisantes et accidents mortels : les exilés sont victimes des forces de l’ordre.
Depuis 1999, la frontière franco-britannique tue et tue encore. « Les Jours » remontent le fil d’un carnage silencieux et éminemment politique.
Après dix mois d’audience, le verdict : perpétuité incompressible pour Abdeslam et des condamnations plus mesurées pour les autres accusés.
Le parquet demande la perpétuité pour Salah Abdeslam et de la prison ferme pour tous ceux dont la responsabilité reste trouble.
Mères, frères, proches… Ils ne sont pas assez impliqués pour être jugés par la cour d’assises spéciale, trop pour ne pas l’être du tout.
Participant zélé au 13 Novembre et à ses préparatifs, il a, dans une de ses rares réponses, assuré avoir désactivé son gilet explosif.
Chaque semaine, « Les Jours » chroniquent des disques en miroir. Aujourd’hui, des Belges équilibristes entre légèreté et noirceur.
Le grand ami de Salah Abdeslam aurait pu éclairer la cour sur les derniers préparatifs du 13 Novembre… Las, il est détenu en Turquie.
Pour son premier interrogatoire, il a plaidé qu’il n’avait pas de sang sur les mains, sans renier son soutien à l’État islamique.
Radicalisation, voyage en Syrie, mystérieux séjour anglais : ce personnage-clé des attentats de Paris et Bruxelles a fait face aux juges.
Parents, frères et sœurs des kamikazes doivent composer entre la culpabilité, le deuil et la suspicion, parfois justifiée, de la cour.
Au fil du procès du 13 Novembre apparaissent les loupés de la police belge, qui a croisé la route de plusieurs des terroristes.
En parallèle de sa propagande hollywoodienne, l’État islamique a développé une sidérante obsession bureaucratique.
Nombre de cas en hausse, mesures renforcées chez nos voisins… Risque-t-on une fin d’année reconfinée ? Voici ce qui nous pend au nez.
Son nom résonne à la cour qui, depuis mardi, retrace le parcours des assaillants. Six ans après, la commune belge tente de se réinventer.
Certains avocats de victimes accusent la police et le renseignement de n’avoir pas su prévenir l’attentat du 13 Novembre.
Les avocats des vingt accusés du 13 Novembre font parfois face à l’incompréhension. La défense est pourtant un droit et une nécessité.
Au premier jour du procès du 13 Novembre, Salah Abdeslam a revendiqué son engagement. Les premiers mots d’un jihadiste singulier.
Un travail policier d’une ampleur inédite débute le soir des attentats. Il aboutit, ce mercredi, à l’ouverture du procès du 13 Novembre.
Un commando de dix hommes. Le Stade de France, les terrasses, le Bataclan. Moins de quatre heures. 131 morts, près de 700 blessés.
À partir du 8 septembre, vingt hommes sont jugés pour leur rôle présumé dans le 13 Novembre. Des attaques imaginées depuis longtemps.
Chaque semaine, « Les Jours » chroniquent une actualité et un disque en miroir. Aujourd’hui, cœurs de clasheurs.
Chaque semaine, « Les Jours » chroniquent une nouveauté et un disque en miroir. Aujourd’hui, deux artisans de la pop économe.