À la traîne au plan international, le pôle « cold cases » vient de diffuser une vidéo pour identifier un violeur en série. Une première encore bancale.
À la traîne au plan international, le pôle « cold cases » vient de diffuser une vidéo pour identifier un violeur en série. Une première encore bancale.
Les succès d’élucidation du pôle de Nanterre, créé il y a deux ans, révèlent les défaillances du passé. Et le manque de moyens d’aujourd’hui.
Au terme d’un procès qui a mis en lumière sa responsabilité dans les crimes de son ex-mari, elle a écopé de la perpétuité, avec vingt ans de sûreté.
Les policiers ont tout fait pour défendre leur enquête bâclée, finalement résolue par la gendarmerie. Jusqu’à tenter d’innocenter le tueur.
Point-clé du procès, les 35 meurtres que Fourniret aurait pu commettre, au lieu des 11 connus. « Peut-être vrai ou pas vrai », dit la complice.
Jugée pour la troisième fois pour trois des meurtres commis avec Michel Fourniret, Monique Olivier s’est présentée en femme soumise et apeurée.
Les ratés judiciaires sur le parcours criminel du couple seront au cœur du procès de Monique Olivier, le premier du pôle « cold cases », mardi.
Le meurtre non-résolu d’une lycéenne en 1993 a été confié au pôle « cold cases ». Ce cas soulève la question des féminicides par auteur inconnu.
Après trente-six ans d’enquêtes ratées, les juges de Nanterre héritent de quatre crimes non résolus aux modes opératoires très proches.
Les tribunaux continuent à détruire les scellés dans les affaires de crimes irrésolus. Le pôle « cold cases » doit remédier à ce scandale.
La première mise en examen du pôle de Nanterre tente de rattraper les dysfonctionnements de la justice, notamment du fichage génétique.
Le nouveau pôle de Nanterre dédié aux « cold cases » a détaillé les premières affaires qui vont être réexaminées. Elles datent de 1987.
Le nouveau pôle « cold cases » pourrait hériter de l’affaire Danièle Bernard dont le meurtre, en 1989, a été négligé par la justice.
La série des « Jours » sur la mortelle rencontre entre Fourniret et les Postiches sort ce jeudi en librairie, coéditée avec Le Seuil.
Le serial killer, son ex-épouse et leur fils, le flamboyant gang de braqueurs et leurs compagnons de route… Que sont-ils devenus ?
Fin 2018, un terrain lui appartenant intéressait particulièrement les enquêteurs. Ce jeudi, il aurait avoué le meurtre d’Estelle Mouzin.
L’ex-bandit Hellegouarch, dont la femme a été assassinée par le tueur en série Fourniret, se confie en exclusivité aux « Jours ».
Procès. Complice consentante de Fourniret ou femme manipulée ? La cour n’a pas tranché. Elle a pris vingt ans, lui perpétuité.
Procès. La cour d’assises a tout tenté pour extirper de la mémoire tortueuse de Fourniret le lieu où il a enfoui le cadavre.
Procès. Au deuxième jour, Jean-Pierre Hellegouarch a réclamé que Fourniret paye enfin pour l’assassinat de sa femme.
Procès. Au premier jour, le serial killer est apparu usé, mais stratège dans ses oublis et toujours aussi fasciné par lui-même.
Le 26 juin 2003, une jeune fille s’échappe de sa camionnette. C’est la chute du prédateur. Et la révélation de l’origine de son magot.
Année après année, tous les moments-clés de l’impensable rencontre entre le serial killer et les braqueurs… autour d’un magot.
Son ex-codétenu commence à le suspecter d’avoir tué sa femme, le fisc le traque et les Postiches ne trouvent plus leur trésor…
Grâce au magot volé, Michel et Monique Fourniret achètent une demeure au cœur de la forêt ardennaise. Derrière les murs, l’horreur.
Fourniret a piégé la femme de son ex-codétenu. Ensemble, ils ont déterré le magot des Postiches. Puis il l’a tuée. Froidement.
Une prison italienne, un hélico, une arrestation et des lingots d’or introuvables : la folle cavale des Postiches prend fin.
« Les Jours » ont eu accès aux lettres dans lesquelles le détenu Fourniret et sa future femme planifient meurtres et viols.
Le 14 janvier 1986, rue du Docteur-Blanche à Paris, l’ultime braquage du gang se termine dans le sang et le caniveau.
En cellule, le violeur au comportement curieux s’attire les faveurs d’un braqueur. Récit d’une rencontre qui finira mal.