Mathias Vicherat, ex-directeur de Sciences-Po, et Anissa Bonnefont étaient jugés pour violences réciproques. Six mois avec sursis ont été requis pour chacun.
Mathias Vicherat, ex-directeur de Sciences-Po, et Anissa Bonnefont étaient jugés pour violences réciproques. Six mois avec sursis ont été requis pour chacun.
Allyssia Davaine a échappé de peu à la mort en 2020. Jugé du 3 au 8 octobre, Johnny Verslype, son ex-conjoint, a été condamné à quinze ans de prison.
En 2020, la jeune femme réchappait d’une tentative de meurtre par son ex-conjoint. Déterminée, elle s’est confiée aux « Jours » avant l’ouverture du procès.
Cinq arrêts pris par la cour d’appel de Poitiers consacrent ce schéma de contraintes en tant que notion juridique. Historique.
Mardi, le collectif #NousToutes a organisé un « femmage », un hommage aux victimes de féminicides, à Paris. Pour qu’elles ne tombent pas dans l’oubli.
Avocats et magistrats en témoignent, l’appréhension des violences conjugales dans les tribunaux a connu une révolution en quinze ans.
Info « Les Jours ». Un juge décidera ce lundi si l’État peut être assigné en responsabilité en l’absence de plainte de la victime… éconduite au commissariat.
Des prévenus qui minimisent, voire nient ce dont ils sont accusés : « Les Jours » ont assisté à une audience consacrée aux violences intrafamiliales.
Dans tous les tribunaux viennent de naître les « pôles VIF », pour « violences intrafamiliales ». C’est le premier arrêt de l’enquête des « Jours ».
En donnant un chiffre non consolidé pour 2023, Éric Dupond-Moretti provoque l’ire des associations. Et tait le travail de fond qui reste à accomplir.
Partout en France, dans tous les milieux, des femmes sont tuées par leurs compagnons. Chaque mois, « Les Jours » documentent ces meurtres.
« Suicide altruiste », euthanasie… Dans le cas de séniores malades, on tait bien souvent des meurtres. Les explications de la chercheuse Margot Giacinti.
Partout en France, dans tous les milieux, des femmes sont tuées par leurs compagnons. Chaque mois, « Les Jours » documentent ces meurtres.
En 2020, Allyssia Davaine a échappé par miracle à la mort. Elle raconte aux « Jours » la vie de survivante d’une tentative de féminicide.
Partout en France, dans tous les milieux, des femmes sont tuées par leurs compagnons. Chaque mois, « Les Jours » documentent ces meurtres.
Malgré un récent décret trop mal connu, ce sont souvent les familles elles-mêmes qui se chargent de faire disparaître les traces des meurtres.
Partout en France, dans tous les milieux, des femmes sont tuées par leurs compagnons. Chaque mois, « Les Jours » documentent ces meurtres.
En 2021, 684 femmes se sont tuées ou ont tenté de le faire suite à du harcèlement conjugal. Une infraction difficile à prouver.
Partout en France, dans tous les milieux, des femmes sont tuées par leurs compagnons. Chaque mois, « Les Jours » documentent ces meurtres.
Chaque jour, « Les Jours » publient les minutes d’un procès en correctionnelle de l’été 1973 à Paris. Aujourd’hui, deux gifles à sa femme.
Alors qu’une Américaine est tuée toutes les cinq heures par son compagnon ou ex, les féminicides ne sont un sujet ni médiatique, ni politique.
Partout en France, dans tous les milieux, des femmes sont tuées par leurs compagnons. Chaque mois, « Les Jours » documentent ces meurtres.
Affligeant jusque-là, le traitement médiatique des violences conjugales a timidement évolué après le crime, il y a tout juste vingt ans.
Partout en France, dans tous les milieux, des femmes sont tuées par leurs compagnons. Chaque mois, « Les Jours » documentent ces meurtres.
Une centaine d’enfants par an perdent leur mère après un féminicide. Pourtant, le protocole de suivi psychosocial n’est toujours pas généralisé.
Partout en France, dans tous les milieux, des femmes sont tuées par leurs compagnons. Chaque mois, « Les Jours » documentent ces meurtres.
Déni, sexisme, sentiment de déclassement : « Les Jours » ont assisté à un stage de responsabilisation pour auteurs de violences conjugales.
Partout en France, dans tous les milieux, des femmes sont tuées par leurs compagnons. Chaque mois, « Les Jours » documentent ces meurtres.
Cette proportion met en lumière les défaillances de la police dans les cas de violences conjugales. Les progrès, réels, sont insuffisants.
Partout en France, dans tous les milieux, des femmes sont tuées par leurs compagnons. Chaque mois, « Les Jours » documentent ces meurtres.
Hocine Hamoudi a écopé de trente ans de prison pour avoir tué sa compagne en 2015. Son ultraviolence était pourtant connue.
Partout en France, dans tous les milieux, des femmes sont tuées par leurs compagnons. Chaque mois, « Les Jours » documentent ces meurtres.
Info « Les Jours ». La famille de cette jeune femme assassinée par son ex en 2021 assigne l’État en responsabilité pour fautes lourdes.
Partout en France, dans tous les milieux, des femmes sont tuées par leurs compagnons. Chaque mois, « Les Jours » documentent ces meurtres.
En 2023, « Les Jours » enquêtent sur les féminicides et recensent, chaque mois, ces meurtres sexistes.
Entre manque de magistrats et affaires expédiées, « Les Jours » ont sillonné les tribunaux pour raconter les comparutions immédiates.
Dans la Creuse, le département le plus âgé de France, le tribunal se donne le temps d’écouter les prévenus violents et alcooliques.
Prévenu absent, traducteur manquant… Les renvois d’audience allongent les délais d’une procédure censée être rapide.
Devant la justice parfois expéditive des comparutions immédiates défilent, inlassablement, des auteurs de violences conjugales.
Pour le climat, contre les violences sexistes… Ces jeunes mettent la pression sur les gouvernants dans la rue, pas dans les urnes.
Marion Péhée consacre un film photographique à cette jeune femme violée, séquestrée et désormais maltraitée par les institutions.
Pour faciliter les plaintes des victimes de violences, une permanence policière vient d’être créée à l’Usap, l’unité qui les accueille.
À l’Unité d’accompagnement du psychotraumatisme, « Les Jours » ont pu assister à des séances de thérapie où les femmes se reconstruisent.
Marie a été poignardée par son ex-compagnon devant ses enfants. Qui ont pu être pris en charge dans le cadre du « protocole féminicide ».
En 2017, Lynda a failli mourir sous les coups de son mari. Le « protocole tentative de féminicide » a alors été enclenché pour elle et ses enfants.
Frappée et menacée de mort par son mari, Nathalie veut porter plainte. Alors l’Usap a fait venir la police à l’hôpital. Récit.
Chaque jour, des femmes victimes de violences conjugales arrivent à l’Usap. À bout, terrorisées, elles y sont accompagnées.