François Vérove pourrait avoir été impliqué dans les meurtres non résolus de deux petites filles en 1987. La juge Nathalie Turquey enquête.
François Vérove pourrait avoir été impliqué dans les meurtres non résolus de deux petites filles en 1987. La juge Nathalie Turquey enquête.
À la traîne au plan international, le pôle « cold cases » vient de diffuser une vidéo pour identifier un violeur en série. Une première encore bancale.
Les succès d’élucidation du pôle de Nanterre, créé il y a deux ans, révèlent les défaillances du passé. Et le manque de moyens d’aujourd’hui.
Point-clé du procès, les 35 meurtres que Fourniret aurait pu commettre, au lieu des 11 connus. « Peut-être vrai ou pas vrai », dit la complice.
Nouvelle série. Selon le décompte des « Jours », au moins 57 personnes ont été éborgnées depuis 1999 par l’arme préférée des forces de l’ordre. Enquête.
Après trente-six ans d’enquêtes ratées, les juges de Nanterre héritent de quatre crimes non résolus aux modes opératoires très proches.
Reportage à l’Office central pour la répression des violences aux personnes, qui veut bâtir une mémoire criminelle des « cold cases ».
Ex-enquêteur de terrain à la PJ, Raphaël Nedilko a résolu deux « cold cases ». Il fustige les lacunes de la police face aux crimes complexes.
Olivier Le Gall enquête, au sein d’un cabinet d’avocats, sur des crimes non résolus. Une première en France.
À partir de 2014, une nouvelle juge prend le « cold case » en main. Elle réexamine toutes les pistes et un profil se précise…
Depuis trente-sept ans, la famille de Grégory Villemin mise sur les progrès de la forensique pour tenter d’obtenir des réponses.
En 2016, un cadavre non identifié est découvert dans le Jura. Les gendarmes vont partir du crâne pour établir un portrait-robot génétique.
Août 2018, Finistère, un homme est tué par arme à feu. Les experts en balistique de la gendarmerie arrivent sur la scène du crime.
Le 31 août 1997, Lady Di meurt à Paris. C’est le début d’une enquête hors norme pour les experts en accidentologie de la gendarmerie
Un corps calciné, des psychotropes détectés, une épouse au lourd passé… Meurtre ou suicide ? Les gendarmes toxicologues entrent en jeu.
Le corps de Patricia Wilson n’a jamais été retrouvé, Jean-Louis Cayrou n’a jamais avoué, mais ses empreintes digitales ont parlé.
Coup de maître : les experts en informatique de l’IRCGN ont noyauté EncroChat, le système de téléphonie des grands criminels européens.
En 2015, Aurélie reconnaît l’homme qui l’a violée sur une photo. Grâce à ce cliché et au fichier TAJ, les gendarmes identifient le suspect.
Une blessure par balle et un genou écorché ne maculent pas de la même façon une scène de crime. Les morphoanalystes font le tri.
Ou comment l’étude des dents des victimes a permis d’éclairer les circonstances du quintuple meurtre du Grand-Bornand, en 2003.
Pour confondre les pédocriminels, tel le directeur d’école Romain Farina, les gendarmes creusent les tréfonds du web.
Les diatomées sont des auxiliaires de justice : retrouvées dans les organes d’un cadavre, ces plantes permettent d’attester une noyade.
Le 15 juillet 2010, une femme est sauvagement assassinée chez elle. Son mari est douteux, une analyste comportementale entre en jeu.
En 2005, le cadavre d’une femme est retrouvé dans une valise. La date du décès ? Inconnue… jusqu’à ce que des mouches entrent en scène.
Près de dix ans après le meurtre, un gendarme a l’idée d’explorer une technique, alors inédite en France, de comparaison d’ADN. Banco.
« Les Jours » s’installent dans le labo de la gendarmerie, pour raconter de l’intérieur comment la science aide à résoudre les meurtres.
L’inauguration d’une cellule antisuicides, ce lundi, illustre les efforts de la police nationale pour endiguer le phénomène.
La police et la gendarmerie recensent chaque coup de feu de leurs agents. Mais gardent leurs bases de données secrètes.
La cour d’assises de Bordeaux, estimant qu’il avait agi dans les règles, a acquitté le policier qui a tué un homme en 2007.
Les tirs accidentels de policiers, faits divers parfois mortels, révèlent des failles de formation et de sécurité.
Masse percutante, rechargement tactique, tir côté fort… À l’école de police, on apprend la théorie et la pratique du pistolet.
C’est le 30e suicide dans la police cette année. Les forces de l’ordre sont les premières victimes de leur arme de service.
Depuis quinze ans, gendarmes et policiers français partagent la même arme de service. Portrait du Sig Sauer.
Craintifs, sûrs d’eux… Les policiers ne sont pas égaux devant leur pistolet. Mais ils vivent avec. Voici leurs états d’arme.
En théorie, les policiers savent quand et comment faire usage de leur arme. Mais sur le terrain, c’est une autre histoire.
Favoritisme, corruption… Les policiers de la répression de la délinquance économique traquent entreprises et élus indélicats.