L’organisme public sera financé via une contribution obligatoire de tous les acteurs du secteur. Les plateformes enragent, Spotify et Deezer en tête.
L’organisme public sera financé via une contribution obligatoire de tous les acteurs du secteur. Les plateformes enragent, Spotify et Deezer en tête.
Injures et règlements de comptes : le financement du CNM vire au vaudeville. Et à la fin, c’est Bercy qui décidera si les plateformes sont taxées.
Soutenue par Universal, la plateforme va changer son mode de rémunération, scrutant le lien avec les fans plus que le pur volume de streams. Une bascule.
Sous les recommandations (1/4). Tout le monde pense que les machines de Spotify ou Deezer enferment l’auditeur dans ses goûts. On a vérifié.
Bien qu’elle s’abrite toujours derrière son statut d’hébergeur, la plateforme fait le tri : elle garde Joe Rogan mais bannit Alain Soral.
Pour dénoncer des propos antivax dans un podcast, le rockeur quitte la plateforme… qui n’en a cure. Le désamour avec les artistes s’aggrave.
À l’écart de Spotify, de nouvelles plateformes réinventent le lien entre les artistes et leur public. Plus proche et plus rémunérateur.
Le système du « user centric » est censé mieux partager le butin des écoutes. Le Centre national de la musique vient de faire les comptes.
Pour exister sur les plateformes de streaming, il faut le temps, l’argent et l’envie. Pas évident pour les petites maisons de disques.
Si les plateformes sont dans le viseur, les labels jouent aussi un rôle majeur dans la rémunération des artistes, jugée trop faible.
Entre musiciens et plateformes, c’était un mariage de raison, c’est désormais la rupture. Les histoires d’argent finissent mal…
Après le « Journal de quarantaine », « Les Jours » continuent à rassembler les infos essentielles sur la crise. En accès libre.
Après le « Journal de quarantaine », « Les Jours » continuent à rassembler les infos essentielles sur la crise. En accès libre.
Privés de live, les musiciens réclament un revenu décent aux plateformes et aux labels. Une brise de révolte souffle sur le secteur.
La plateforme de streaming veut imposer le « user-centric payment system », un modèle économique jugé plus juste pour les artistes.
Le texte voté ce mardi par l’Europe va modifier la circulation de la culture en ligne, notamment sur YouTube. On vous explique tout.
La chercheuse Maria Eriksson pointe le déséquilibre flagrant entre les droits de l’utilisateur… et ceux que s’accorde la plateforme.
La musique a changé d’ère avec l’offre légale ? Qu’importe, l’élue plaide pour la répression contre les téléchargeurs de films.
Bye-bye labels et distributeurs… La plateforme invite tous les amateurs à déposer leur musique sur ses serveurs. C’est un séisme.
La directive qui rééquilibre le rapport de force entre plateformes et labels a été votée. Mais les artistes auront-ils leur part ?
Petits streams (6/6). La logique de la playlist force les labels à privilégier les œuvres courtes… ou à les découper. Une hérésie ?
Petits streams (5/6). Laissée pour compte du streaming, la musique classique tente de se frayer un chemin à l’ombre des hits.
La bataille aura lieu en septembre : le Parlement européen a repoussé le texte sur l’encadrement des plateformes, YouTube en tête.
Petits streams (4/6). Grand public, Spotify et Deezer sont et resteront perdues avec les musiques de niche. Vivement leurs rejetons.
Petits streams (3/6). Hors du rap, les longs formats ne font pas le poids face aux playlists. Au grand dam des labels indépendants.
Petits streams (2/6). Les plateformes savent manier les tubes, beaucoup moins les musiques underground. Et ça leur va bien comme ça.
Petits streams (1/6). Derrière le rap tout-puissant, de nombreux styles musicaux cherchent ce que le stream peut leur rapporter.
Bling-stream (7/7). Dans le système actuel, l’argent des plateformes va aux plus écoutés. Donc au rap, aux dépens de la diversité.
Bling-stream (6/7). Mal médiatisés et contraints à la course aux clics sur Spotify, les petits artistes fraudent pour se lancer.
Bling-stream (5/7). « Les Jours » révèlent que la prétendue triche massive aux fausses écoutes représente moins de 5 % des streams.
Bling-stream (3/7). Spotify a beau vouloir l’enterrer pour imposer ses playlists, le long format reste un passage obligé.
Bling-stream (2/7). Fini, les morceaux choisis par les labels. Connectés à leurs idoles, les fans décident désormais des tubes.
La mort de Johnny marque la fin d’une ère où les purs interprètes étaient rois. Aujourd’hui, le streaming ne les paye pas assez.
Ondes de choc (4/4). Tenues de diffuser 40 % de chanson francophone, les radios enragent : elles veulent la même règle pour tous.
Ondes de choc (2/4). Stations et plateformes sont d’accord : les animateurs fidélisent l’auditeur. Les premières ont de l’avance.
Ondes de choc (1/4). Gros temps pour les stations jeunes : les 15-25 les abandonnent peu à peu pour les plateformes de stream.
Le streaming devenu roi, la filière musicale devait s’entendre sur le partage des revenus. En une nuit, tout a capoté.
Cash-cash (2/2). Exiger son dû à la plateforme prend des airs d’odyssée pour un label. Plongée dans ses entrailles.
Cash-cash (1/2). La plateforme ne reverse que des miettes. Mais beaucoup de maisons de disques ne les réclament même pas.
Sous contrat (3/3). Les majors se surprotègent en tentent de capter une partie des revenus des artistes.
Sous contrat (2/3). Les labels vont jusqu’à taxer les tournées. Exemple avec le contrat d’un candidat de « The Voice ».