Les futurs ministres du président élu traînent de sacrées casseroles, notamment judiciaires. Encore faut-il qu’ils soient validés par le Sénat…
Son rôle dans la série.
Fille de la grande bourgeoisie intellectuelle de Californie (ses parents, immigrés jamaïcain et indien, étaient professeurs d’université), elle devient avocate à 26 ans, choisissant immédiatement une carrière publique de procureur. Dès 1998, elle est procureure adjointe de la ville de San Francisco. Cinq ans plus tard, après avoir démissionné sur des désaccords de fond, en particulier sur la peine de mort et les sanctions contre les mineurs, Kamala Harris est élue procureure de San Francisco contre son ancien patron. Première procureure de district issue de minorité en Californie, elle se distingue à San Francisco par la fermeté de ses convictions de gauche, en particulier sur son refus de la peine de mort. Elle est élue en 2010 comme ministre de la Justice et procureure générale de Californie, nouvelle première historique pour une Africaine Américaine et d’origine asiatique. Ses deux mandats sont moins concluants qu’à San Francisco. Son revirement apparent sur la peine de mort, qu’elle accepte de faire requérir et de défendre devant les tribunaux, lui colle une réputation d’hypocrite. Sa victoire écrasante au siège de sénatrice de Californie en 2016 conforte son ambition présidentielle et elle apparaît début 2019, lorsqu’elle se lance dans la primaire démocrate, comme une favorite alternative à Joe Biden. Après avoir connu une envolée dans les sondages au début de l’été 2019, sa campagne s’effondre et, en décembre 2019, avant même la première primaire, elle retire sa candidature. Mais elle est choisie comme colistière pour la vice-présidence par Joe Biden le 11 août 2020 et devient la première femme vice-présidente des États-Unis. En juillet 2024, elle prend la suite de Joe Biden qui se désiste à son profit dans la course à la Maison-Blanche. Elle est officiellement investie le 22 août 2024 lors de la convention démocrate de Chicago, en ticket avec Tim Walz, gouverneur du Minnesota.
Par Corentin Sellin
Son rôle dans la série.
Fille de la grande bourgeoisie intellectuelle de Californie (ses parents, immigrés jamaïcain et indien, étaient professeurs d’université), elle devient avocate à 26 ans, choisissant immédiatement une carrière publique de procureur. Dès 1998, elle est procureure adjointe de la ville de San Francisco. Cinq ans plus tard, après avoir démissionné sur des désaccords de fond, en particulier sur la peine de mort et les sanctions contre les mineurs, Kamala Harris est élue procureure de San Francisco contre son ancien patron. Première procureure de district issue de minorité en Californie, elle se distingue à San Francisco par la fermeté de ses convictions de gauche, en particulier sur son refus de la peine de mort. Elle est élue en 2010 comme ministre de la Justice et procureure générale de Californie, nouvelle première historique pour une Africaine Américaine et d’origine asiatique. Ses deux mandats sont moins concluants qu’à San Francisco. Son revirement apparent sur la peine de mort, qu’elle accepte de faire requérir et de défendre devant les tribunaux, lui colle une réputation d’hypocrite. Sa victoire écrasante au siège de sénatrice de Californie en 2016 conforte son ambition présidentielle et elle apparaît début 2019, lorsqu’elle se lance dans la primaire démocrate, comme une favorite alternative à Joe Biden. Après avoir connu une envolée dans les sondages au début de l’été 2019, sa campagne s’effondre et, en décembre 2019, avant même la première primaire, elle retire sa candidature. Mais elle est choisie comme colistière pour la vice-présidence par Joe Biden le 11 août 2020 et devient la première femme vice-présidente des États-Unis. En juillet 2024, elle prend la suite de Joe Biden qui se désiste à son profit dans la course à la Maison-Blanche. Elle est officiellement investie le 22 août 2024 lors de la convention démocrate de Chicago, en ticket avec Tim Walz, gouverneur du Minnesota.
Par Corentin Sellin
Son rôle dans la série.
Fille de la grande bourgeoisie intellectuelle de Californie (ses parents, immigrés jamaïcain et indien, étaient professeurs d’université), elle devient avocate à 26 ans, choisissant immédiatement une carrière publique de procureur. Dès 1998, elle est procureure adjointe de la ville de San Francisco. Cinq ans plus tard, après avoir démissionné sur des désaccords de fond, en particulier sur la peine de mort et les sanctions contre les mineurs, Kamala Harris est élue procureure de San Francisco contre son ancien patron. Première procureure de district issue de minorité en Californie, elle se distingue à San Francisco par la fermeté de ses convictions de gauche, en particulier sur son refus de la peine de mort. Elle est élue en 2010 comme ministre de la Justice et procureure générale de Californie, nouvelle première historique pour une Africaine Américaine et d’origine asiatique. Ses deux mandats sont moins concluants qu’à San Francisco. Son revirement apparent sur la peine de mort, qu’elle accepte de faire requérir et de défendre devant les tribunaux, lui colle une réputation d’hypocrite. Sa victoire écrasante au siège de sénatrice de Californie en 2016 conforte son ambition présidentielle et elle apparaît début 2019, lorsqu’elle se lance dans la primaire démocrate, comme une favorite alternative à Joe Biden. Après avoir connu une envolée dans les sondages au début de l’été 2019, sa campagne s’effondre et, en décembre 2019, avant même la première primaire, elle retire sa candidature. Mais elle est choisie comme colistière pour la vice-présidence par Joe Biden le 11 août 2020 et devient la première femme vice-présidente des États-Unis. En juillet 2024, elle prend la suite de Joe Biden qui se désiste à son profit dans la course à la Maison-Blanche. Elle est officiellement investie le 22 août 2024 lors de la convention démocrate de Chicago, en ticket avec Tim Walz, gouverneur du Minnesota.
Par Corentin Sellin
Son rôle dans la série.
Fille de la grande bourgeoisie intellectuelle de Californie (ses parents, immigrés jamaïcain et indien, étaient professeurs d’université), elle devient avocate à 26 ans, choisissant immédiatement une carrière publique de procureur. Dès 1998, elle est procureure adjointe de la ville de San Francisco. Cinq ans plus tard, après avoir démissionné sur des désaccords de fond, en particulier sur la peine de mort et les sanctions contre les mineurs, Kamala Harris est élue procureure de San Francisco contre son ancien patron. Première procureure de district issue de minorité en Californie, elle se distingue à San Francisco par la fermeté de ses convictions de gauche, en particulier sur son refus de la peine de mort. Elle est élue en 2010 comme ministre de la Justice et procureure générale de Californie, nouvelle première historique pour une Africaine Américaine et d’origine asiatique. Ses deux mandats sont moins concluants qu’à San Francisco. Son revirement apparent sur la peine de mort, qu’elle accepte de faire requérir et de défendre devant les tribunaux, lui colle une réputation d’hypocrite. Sa victoire écrasante au siège de sénatrice de Californie en 2016 conforte son ambition présidentielle et elle apparaît début 2019, lorsqu’elle se lance dans la primaire démocrate, comme une favorite alternative à Joe Biden. Après avoir connu une envolée dans les sondages au début de l’été 2019, sa campagne s’effondre et, en décembre 2019, avant même la première primaire, elle retire sa candidature. Mais elle est choisie comme colistière pour la vice-présidence par Joe Biden le 11 août 2020 et devient la première femme vice-présidente des États-Unis. En juillet 2024, elle prend la suite de Joe Biden qui se désiste à son profit dans la course à la Maison-Blanche. Elle est officiellement investie le 22 août 2024 lors de la convention démocrate de Chicago, en ticket avec Tim Walz, gouverneur du Minnesota.
Par Corentin Sellin
Les futurs ministres du président élu traînent de sacrées casseroles, notamment judiciaires. Encore faut-il qu’ils soient validés par le Sénat…
Une semaine après la présidentielle américaine, militants et sympathisants progressistes dissèquent l’échec de Kamala Harris. Saignant.
Dans le bastion conservateur de Newnan, les trumpistes jubilent pendant que les électeurs de Harris, accablés, anticipent les quatre années à venir.
Insubmersible, le milliardaire va réintégrer la Maison-Blanche. Le fruit d’une OPA sur le vote des hommes non-diplômés issus des minorités.
Donald Trump est élu président des États-Unis, il a surclassé la démocrate Kamala Harris : revivez l’élection américaine en replay.
Harris, Trump ou un résultat suspendu ? Trois scénarios sont possibles, sans que les sondages ne décèlent de tendance. Réponse dans quelques heures…
Même dans les universités « historiquement noires » d’Atlanta, la démocrate peine à séduire. Certains jeunes afro-américains lui préfèrent même Trump.
Les Amérindiens, dont le vote est crucial dans ce swing state, sont historiquement démocrates. Mais certains sont sensibles aux arguments de Trump.
Entre provocations et insultes, surtout de la part du candidat républicain, jamais une campagne n’aura été aussi violente et les États-Unis, aussi divisés.
Le patron de X a pris la tête de la campagne républicaine, déléguée à des sous-traitants. L’ex-Président, lui, se prépare à contester son éventuelle défaite.
Dans cet État conservateur, les classes populaires blanches sont minées par la pauvreté et les drogues dures. Ni Trump ni Harris ne représente un espoir.
Grâce à leurs contributions, les gros donateurs influencent comme jamais la campagne… et les engagements politiques des deux candidats.
L’État redoute des heurts en cas de défaite de Trump. Or le scrutin promet d’être serré et le nouveau décompte manuel des voix va retarder les résultats…
Le racisme du candidat républicain ne rebute pas les Hispano-Américains de Floride. Mais l’espoir de faire basculer l’État grimpe chez les démocrates.
Après une nouvelle tentative d’assassinat « apparente » contre le candidat républicain, la tension monte d’un cran dans la campagne électorale.
Pour arracher le vote des électeurs indécis de cet État-clé, notamment les femmes, le camp Harris mise sur la défense des droits reproductifs. Reportage.
La démocrate a fait forte impression face à Donald Trump. Mais l’ex-Président, qui ne s’adresse qu’à ses partisans, en a-t-il quelque chose à faire ?
La vice-présidente enthousiasme les démocrates et décontenance le camp Trump. Il ne lui reste plus qu’un détail à régler : trouver un programme…
Rural quand elle est urbaine, de gauche quand elle est modérée : avec Walz à la vice-présidence, la candidate démocrate joue la complémentarité.
Lâché par son camp, le président Biden ne vise plus la réélection. Sa vice-présidente est la favorite pour le remplacer, mais sans faire l’unanimité.
Le Super Tuesday, date-clé des primaires à la présidentielle, a validé un duel évident… dont les Américains ne veulent pas.
L’ex-Président américain n’en finit plus de cajoler le Russe. Parce qu’il admire son autoritarisme, bien sûr. Mais y aurait-il d’autres raisons ?
Le Président estime être le seul à pouvoir contrer Trump en 2024. Mais ses presque 81 ans et sa santé font douter les démocrates.
Malgré son âge, le Président est candidat à sa réélection. Il compte sur sa capacité à lever des fonds… et sur l’épouvantail Trump.
Chômage au plus bas, justice fiscale, parti uni… Voilà qui ferait rêver tout leader de centre-gauche européen. Et pourtant, ça ne prend pas.
Malgré un bilan positif, le président américain se heurte, à l’approche des élections de mi-mandat, à son impopularité et à l’insécurité.
Après des mois d’échecs politiques, le président américain réussit à redonner de l’espoir aux démocrates avant les élections de mi-mandat.
La laborieuse nomination de la juge noire Ketanji Brown Jackson révèle l’ampleur de la fracture entre deux Amérique irréconciliables.
L’assaut (1/3). Le 6 janvier 2021, des partisans de Donald Trump envahissent le Congrès. Un an après la stupeur, l’enquête continue.
Entravé par des sénateurs républicains toujours acquis à Donald Trump, le président américain réduit fortement l’ambition de ses réformes.
Le Président voit ses réformes sociales se fracasser au Sénat, où les républicains refusent obstinément sa politique de la main tendue.
Le Président tente de durcir le contrôle des armes mais les républicains bloquent, soutenus par une Cour suprême encore plus conservatrice.
L’ex-Président est jugé par les sénateurs ce mardi. Ce qui ne dit rien du soutien fervent qu’il conserve auprès des républicains.
Investi ce mercredi, le nouveau Président a la tâche colossale de réparer un pays meurtri par quatre ans de trumpisme.
Sidérante et inédite, l’attaque du Congrès vient conclure quatre années d’un mandat passé à démolir systématiquement la démocratie.
Illégitime aux yeux des trumpistes, trop modéré pour la gauche des démocrates, le futur Président rame vers la Maison-Blanche.
Malgré la victoire de Biden, la transition avec le président sortant, renforcé par de bons résultats électoraux, promet d’être houleuse.
Joe Biden devient le 46e président des États-Unis face à Donald Trump. Une revanche pour cet éternel second couteau.
Après quatre jours sous tension, l’ex-vice-président d’Obama devient président des États-Unis. Mais Trump n’a pas reconnu sa défaite…
Les deux candidats à la vice-présidence ont tenu un débat plus présidentiel que Biden et Trump, mais restent tout aussi irréconciliables.
Des sommes astronomiques déferlent sur les campagnes des deux candidats. La faute à un financement électoral totalement dérégulé.