Les nouvelles molécules comme le sémaglutide sont-elles une bonne nouvelle pour la santé des personnes grosses… et contre la grossophobie ? Pas sûr.
Les nouvelles molécules comme le sémaglutide sont-elles une bonne nouvelle pour la santé des personnes grosses… et contre la grossophobie ? Pas sûr.
Depuis des décennies, la recherche d’un médicament amaigrissant se heurte à des scandales sanitaires en cascade. Et si l’Ozempic était la solution ?
Cet antidiabétique fait perdre du poids. Hollywood ne s’y est pas trompé. Mais il attise aussi les craintes, nombreuses et parfois infondées.
Le procès en appel du Mediator, qui s’est ouvert ce lundi, illustre les difficultés des victimes à être prises en compte et indemnisées.
Derrière la mise en examen de Merck, la responsabilité de l’ANSM est engagée, notamment via une curieuse autorisation de mise sur le marché…
Info « Les Jours ». Selon des documents retrouvés par les enquêteurs, le laboratoire connaissait les risques autour du changement de formule.
Merck est définitivement condamné pour « préjudice moral » en cassation. Une décision qui le fragilise avant un éventuel procès au pénal.
Info « Les Jours ». Un rapport diligenté par la justice confirme les graves manquements du laboratoire sur la nouvelle formule.
Après des années de procédure, le laboratoire Servier est condamné pour « tromperie aggravée » et « homicides et blessures involontaires ».
Dépakine, Mediator… La justice n’est pas à la hauteur des scandales, estime Me Charles Joseph-Oudin. Sa stratégie : taper au portefeuille.
Lors des réquisitions, les procureures ont insisté sur la sphère d’influence cultivée par le labo et sa persistance dans le mensonge.
Pour booster leurs marges, les labos ont largement délocalisé en Asie. Au risque de dangereuses ruptures d’approvisionnement.
Négligente, opaque… Le visage de l’Agence du médicament était peu reluisant dans les années 1990 et 2000. Et aujourd’hui ?
Lors du procès, celle qui a révélé le scandale a raconté sa lutte contre le déni de Servier et l’inertie de l’Agence du médicament.
Alors que le procès du Mediator met au jour ses stratégies d’influence, le labo soigne toujours autant ses liens avec les médecins.
Pendant des décennies, le laboratoire a cultivé ses liens avec des médecins, des experts, des politiques… Le procès s’ouvre ce lundi.
L’affaire du Mediator, dont le procès s’ouvre lundi, met en lumière les liens d’intérêts entre médecins et géants pharmaceutiques.
Selon quatre études concordantes, la nouvelle formule du médicament aurait été améliorée après sa mise sur le marché en mars 2017.
Les autorités viennent de dévoiler une étude qui tente de dédouaner la nouvelle formule, mais comporte des biais méthodologiques.
Les malades exigent la vérité sur la composition de la nouvelle formule, notamment sur les effets néfastes du mannitol.
De nouveaux travaux publiés ce jeudi apportent une reconnaissance scientifique aux souffrances des victimes de la nouvelle formule.
Selon un cadre du laboratoire qui s’est confié aux « Jours », Merck n’a pas suffisamment pris en compte l’intérêt des patients.
Plus de 4 000 malades se voient refuser une indemnisation pour « défaut d’information » de Merck. Mais l’enquête se poursuit au pénal.
Plus de 4 000 victimes ont intenté une action collective contre le labo. Une audience très tendue s’est tenue à Villeurbanne.
Info « Les Jours ». L’organisme prend la suite d’une étude financée par les malades, mais les exclut du processus de recherche.
Le tribunal de grande instance de Toulouse a ordonné l’expertise de 47 malades. La justice civile, plus rapide, commence à payer.
Levothyrox, Dépakine… Le député Insoumis publie un livre sur l’industrie pharmaceutique, toute-puissante et oublieuse des patients.
Au nom de cette nouvelle loi, des documents sur le Levothyrox que se sont procurés « Les Jours » ont été censurés par l’ANSM.
Un rapport commandé par la ministre blâme les autorités sanitaires, mais réduit la crise à un défaut d’information.
Les malades attaquent au civil mais butent sur la défense coordonnée du laboratoire et de l’Agence du médicament.
De nouveaux éléments confirment le conflit d’intérêts du professeur Philippe Lechat, révélé par « Les Jours ».
« Les Jours » se sont procuré l’étude, financée par des patients, qui pointe des anomalies dans la nouvelle formule.
Merck et l’ANSM auraient pu et dû anticiper les dangers liés au changement de formule : il y avait des précédents étrangers.
Pierre-Alain Vitte, pharmacologue, remet en cause la composition du nouveau Levothyrox et l’étude qui a précédé son lancement.
Info « Les Jours ». Des documents prouvent que le changement de formule du Levothyrox s’inscrit dans une stratégie globale du labo.
Réaction tardive, études a minima, silences… Agnès Buzyn gère le dossier à l’économie. Comme si elle l’avait déjà refermé.
Après nos révélations, le laboratoire Merck nous menace de procès et l’Agence du médicament nous a envoyé un droit de réponse.
Des victimes du médicament pour la thyroïde racontent aux « Jours » leur souffrance, parfois niée, souvent minimisée.
Les malades de la thyroïde ont déposé 7 000 plaintes. La justice s’empare du dossier. « Les Jours » étendent leur investigation.
Info « Les Jours ». Le professeur Philippe Lechat a demandé la nouvelle formule du Levothyrox au labo… avec lequel il a collaboré.
Info « Les Jours ». Le labo a formé ses visiteurs médicaux en catastrophe, des mois après la nouvelle formule du médicament.
Les victimes du médicament s’unissent devant la justice pour obtenir transparence et réparation de la part de Merck.