Macron a enfin trouvé la perle rare pour Matignon après les législatives remportées par la gauche : un vieux second couteau LR. Avec l’assentiment du RN ?
Macron a enfin trouvé la perle rare pour Matignon après les législatives remportées par la gauche : un vieux second couteau LR. Avec l’assentiment du RN ?
La réunion entre Matignon et l’intersyndicale n’a abouti à rien. Sans surprise, tant l’exécutif nie systématiquement tout dialogue social.
Info « Les Jours ». Le géant français a mené un test de reconnaissance faciale inédit lors de l’édition 2020, notamment sur des arbitres.
L’établissement va disparaître mais le concours et le classement de sortie demeurent. Reste un changement de nom à visée électorale.
L’attentat de Conflans ravive le débat sur la laïcité. Dans les cabinets du pouvoir, les tenants d’une conception restrictive dominent.
Des cabinets ministériels à la haute administration, le Président place ses proches et assure ses arrières. Objectif : un second mandat.
Le nombre maximum de conseillers a été revu à la hausse dans le gouvernement Castex, renforçant le pouvoir des entourages ministériels.
Son casting ? Des « technos », des grandes gueules et des sarkozystes… pour faire oublier que le vivier macroniste est déjà tari.
Dans le casse-tête du déconfinement, l’exécutif tarde à prendre ses responsabilités et instrumentalise les avis des scientifiques.
Le projet de loi consacre la méthode Macron : en finir avec le paritarisme au bénéfice d’un pilotage par les cabinets du pouvoir.
Le PDG de BlackRock France a ses entrées au cabinet d’Édouard Philippe. Sous Raffarin, il a dirigé plusieurs de ses conseillers…
Jean-François Cirelli, le PDG du fonds de pension en France, connaît bien le dossier : il a piloté la réforme de 2003 depuis Matignon.
En plein bras de fer avec les syndicats, le haut-commissaire aux retraites, qui n’a pas déclaré tous ses mandats, démissionne.
La réforme par points de Macron inclura des mesures d’économies. Un compromis au sein de l’exécutif qui met en rage tous les syndicats.
Le conflit d’intérêts du haut-commissaire avec les assureurs jette une ombre de plus sur la réforme. Nouvelle mobilisation ce mardi.
Emmanuel Macron ne tranche pas entre ses conseillers, Matignon et Bercy. Résultat : face à la grève, l’exécutif stresse.
Le haut-commissaire Jean-Paul Delevoye entre au gouvernement, sur fond de concurrence entre les cabinets du pouvoir.
Les conseillers ont tenu un discours différent à chacun des syndicats. Le texte final a été une surprise. Une mauvaise.
À l’origine de la réforme du Code du travail, des économistes influents défendent depuis des années la « flexisécurité ».
Les conseillers ministériels sont souvent issus d’agences de communication qui cherchent des relais au cœur du pouvoir.
Au terme d’un été de faux dialogue, les conseillers ont repris la plupart des propositions du syndicat patronal.
Les conseillers usent de ruses de Sioux avec les syndicats pour esquiver toute négociation sur la réforme du Code du travail.
Comment un ministre recrute-t-il ses conseillers ? Réseaux d’influences et grands corps d’État se cachent derrière ce choix opaque.
Pilotée par le cabinet de la ministre, la réforme du Code du travail s’élabore en petit comité et dans un climat paranoïaque.
Derrière les discussions avec les syndicats sur le Code du travail, les cabinets sont en compétition pour avoir le dernier mot.
Passés par Matignon, l’Élysée ou des ministères, des anciens conseillers décrivent l’intense quotidien des cabinets.
Le Président a disposé à Matignon et dans les ministères une armée de proches, conseillers-vigies qui contrôlent les ministres.
Malgré le renouvellement promis par Macron, les conseillers issus du hollandisme et du sarkozysme trustent les ministères.
Après les élections, les nominations. Enquête dans les cabinets, où se multiplient les conseillers passés par le privé.