François Vérove ? Un gendarme discret, dit son livret militaire. Puis un policier volontaire. Restent plusieurs épisodes mystérieux…
François Vérove ? Un gendarme discret, dit son livret militaire. Puis un policier volontaire. Restent plusieurs épisodes mystérieux…
À partir de 2014, une nouvelle juge prend le « cold case » en main. Elle réexamine toutes les pistes et un profil se précise…
En 1987, un inconnu armé viole une femme puis une adolescente à Paris. À chaque fois, il exhibe une carte tricolore et ligote ses victimes…
L’ADN a parlé : François Vérove, l’ex-gendarme qui s’est suicidé mercredi, est bien le tueur et violeur en série recherché depuis 1986.
Associé de Mesrine, compagnon de route des Postiches, évadé en série… Assagi, il raconte trente ans de banditisme singulier.
Les deux policiers ont été condamnés à sept ans de prison ferme pour le viol d’une touriste canadienne dans leurs bureaux de la BRI.
La brigade des stups quitte le quai des Orfèvres ; l’immersion du reporter s’achève. Le trafic de drogue, lui, est toujours là.
En garde à vue, le dealer nie en bloc. Sans savoir que, dans la pièce d’à côté, quelqu’un est en train de le balancer.
Après cinq mois d’enquête, c’est le grand jour : les policiers de la brigade des stups vont arrêter Omar le dealer.
Les enquêteurs de la brigade des stups suivent à la trace le dealer. Mais la filature ne se passe pas comme prévu…
Entre deux surveillances de dealers, les enquêteurs des stups embarquent le reporter au stand de tir.
Incognito, les enquêteurs passent la soirée dans un café pour surveiller Omar, le dealer, et identifier Gencive, son boss.
À coups de planques et filatures, le groupe Surdoses remonte la piste d’une grande famille de trafiquants de Seine-Saint-Denis.
Chaque samedi, une comédienne lit un épisode des « Jours ». Cette semaine, l’épopée de Lucienne Goldfarb.
Les overdoses sont des homicides involontaires. À chaque décès, son enquête. À Paris, c’est le groupe Surdoses qui s’y colle.
Toc, toc, toc. Lever de rideau. Samedi, « Les Jours » racontent des « Histoires vraies » à Lyon, à l’occasion de Quais du polar.
Nouveau-né dans la collection « Les Jours » - Le Seuil : « Le 36, histoires de poulets, d’indics et de tueurs en série », par Patricia Tourancheau.
Trente ans après la mort de Cécile Bloch, les policiers refont l’enquête et imaginent ce qu’a pu devenir le Grêlé.
En 2005, près de vingt ans après la mort de Cécile Bloch, les enquêteurs lancent une opération de la dernière chance…
En 2001, quinze ans après la mort de Cécile Bloch, une singulière profileuse belge lance une enquête parallèle.
Quinze ans après le meurtre de Cécile Bloch par le Grêlé, la police intègre une profileuse pour relancer la traque du « serial killer ».
En 2001, la crim’ en est sûre, le Grêlé a aussi assassiné une jeune Allemande. Qui a inscrit un nom étrange sur un carnet…
En 1997, plus de dix ans après les faits, l’assassin de Cécile Bloch court toujours. La crim’, elle, multiplie les pistes.
En 1996, dix ans après la mort de Cécile Bloch, l’ADN de son assassin est isolé. Enfin un coup de fouet pour l’enquête ?
En 1994, huit ans après la mort de Cécile Bloch, un homme kidnappe une fillette et la conduit dans une ferme de l’Essonne.
En 1987, un an après le meurtre de Cécile Bloch, les corps d’une jeune Allemande et de son employeur sont retrouvés à Paris.
En ce printemps 1986, l’inspecteur Pasqualini a une intuition : l’assassin de Cécile Bloch est un criminel en série.
Plusieurs témoins ont croisé le suspect numéro 1 du meurtre de Cécile Bloch. La police va pouvoir tirer son portrait-robot.
Un ex-gendarme s’est suicidé ce mercredi. Son ADN a parlé : il était bien le Grêlé. Retrouvez nos douze épisodes sur ce « cold case ».
Proxénètes étrangers, réseaux sur internet et pénalisation du client : la brigade s’adapte.
Un tuyau de cette figure de la rue Saint-Denis a permis d’élucider le meurtre d’une policière.
Au boulot, ils écumaient les bars à hôtesses, les backrooms homos et regardaient des films porno.
À l’automne 1968, le 36 enquête sur l’affaire Markovic, ragots et photos truquées de Claude Pompidou à la clé.
Derrière la disparition de l’opposant marocain s’entremêlent flics, truands et la plus grande maquerelle de Paname.
Son claque fermé, la taulière dirige un club libertin… sous l’œil protecteur de Roland Dumas.
Prostituée puis proxénète, elle a toujours tuyauté la police. Et peut-être même celle de Vichy…
Le 36 abrite un curieux musée. On y expose des poils pubiens et des godes antédiluviens.
Martine Monteil, l’ex-boss de la brigade, a arrêté la plus grande maquerelle du XXe siècle.
Flic d’abord. Martine Monteil a été la première cheffe du 36, sans avoir « le mot “féministe” tatoué sur le front ».
Grâce à ses indics, le commissaire Féval ramenait de belles affaires au 36. Mais l’un d’entre eux l’a conduit en cabane.
Rubis, 13 Novembre, stars Canal+, gang des postiches et Bigard… La brigade de répression du banditisme a fêté ses 40 ans.
Patrick Riou, l’ex-patron de la crim’, raffolait des affaires sensibles, mais pas des pressions politiques.
L’ex-boss de la crim’ a été marqué par son premier meurtre. Et par ses dix ans au cœur d’un service à part au 36.
« Les Jours » exhument des photos jamais publiées de Gainsbarre au Quai des Orfèvres, dont il était un pilier.
L’ex-super-flic Michel Neyret a été condamné ce mardi à 30 mois de prison ferme pour corruption. Récit d’un naufrage.
Le verdict est tombé jeudi dans le procès Faïd. Le commandant Maugard raconte comment il a coincé le gang de Creil.
Spécialiste du flic « dans la tourmente », l’avocate Anne-Laure Compoint défend une police old school et flamboyante.
L’identité des policiers qui ont tiré sur l’ennemi public n°1 était cachée depuis 1979. Jean-Louis Fiamenghi en était.
Au Quai des Orfèvres, Jean-Louis Fiamenghi, aujourd’hui reconverti dans le privé, était un flic d’action tendance cow-boy.
La police judiciaire de Paris va quitter le 36 quai des Orfèvres. Un bâtiment historique où repose la mémoire du crime.