Inaugurée en 1983, la centrale Thémis devait faire de la France la championne de l’énergie solaire. Un projet ambitieux sacrifié trois ans plus tard.
Inaugurée en 1983, la centrale Thémis devait faire de la France la championne de l’énergie solaire. Un projet ambitieux sacrifié trois ans plus tard.
En 1970, le four solaire d’Odeillo qu’installe Félix Trombe dans les Pyrénées est une réussite technologique. Las, c’est un échec commercial.
L’Algérie a été à l’avant-garde du photovoltaïque. Mais la guerre ainsi que les gisements de pétrole et de gaz ont éclipsé cette manne naturelle.
Années 1930 ou 2020, superprofits ou pertes… Ça ne change rien : Total distribue de généreux dividendes. Et tant pis pour les investissements.
À la fin des années 1970, le pétrolier a été un pionnier de l’énergie solaire… avant de tout laisser tomber. Enquête dans les archives.
Les profits records annoncés ce mercredi attestent de la complaisance du fisc avec le pétrolier. Une indulgence déjà à l’œuvre en 1977…
Au cours des années 1970, le pétrolier a pu compter sur des hauts fonctionnaires très conciliants pour éviter l’impôt, en toute discrétion.
Via le ministre des Finances, la compagnie impose le « bénéfice mondial consolidé », qui fait discrètement s’évaporer l’impôt. Le coup parfait.
Prospecter et creuser pour trouver de nouveaux puits, ça coûte cher. Sauf quand on peut déduire de ses impôts ses investissements…
Dès 1955, l’entreprise empile les succursales et les filiales dans de savants montages financiers. Le but : échapper à l’impôt en France.
« Les Jours » ont mis la main sur des archives inédites qui détaillent le premier montage offshore du pétrolier pour réduire ses impôts.
Il fut un temps où Total était taxé en France… puis un accord entre États-Unis et Arabie saoudite a chamboulé la fiscalité du pétrole.
Dans la tourmente, l’entreprise se rend compte cette année-là qu’elle a tout intérêt à parler à l’opinion pour imposer ses (contre)vérités.
Cette année-là, une commission parlementaire révèle les avantages fiscaux du pétrolier. Près de 50 ans plus tard, rien ou presque n’a changé.
L’impuissance des politiques à taxer le géant pétrolier en France remonte à… À quand déjà ? « Les Jours » creusent.
Raffinerie Total, papeterie… Syndicalistes et écolos inventent ensemble un futur où la transition crée des emplois. Pas le contraire.
Malgré vingt ans de combat, ce satané sac est loin d’être éradiqué : plastiqueurs et États trichent. Et le Covid-19 n’arrange rien.
En quarante ans, la filière n’a jamais décollé. Normal, c’est une diversion de l’industrie pour déculpabiliser les consommateurs.
Bisphénols, PFAS, phtalates… L’industrie est à la manœuvre pour sauver ces substances toxiques, indissociables de sa matière chérie.
Malgré les preuves scientifiques, l’industrie continue tranquillement de nier la dangerosité de sa matière.
Le plastique est en passe de devenir le débouché principal de l’hyper-polluante industrie pétrolière. Et tant pis pour la planète.
Niant son impact sur la santé et l’environnement, les lobbies du secteur défendent bec et ongles leur matière chérie.
Écologie ou pandémie, peu importe, l’industrie grossit, grossit, grossit… « Les Jours » fondent sur les géants du secteur. Boom !
Après le « Journal de quarantaine », « Les Jours » continuent à rassembler les infos essentielles sur la crise. En accès libre.
Le secteur crie que la pandémie pourrait le tuer. La faute au pétrole bradé et à l’effondrement de la demande. Tant pis pour le climat.
Tout au long de l’épidémie, « Les Jours » rassemblent les informations essentielles sur le coronavirus. En accès libre.
Malgré la « modération » demandée par l’exécutif, le groupe pétrolier verse 1,8 milliard d’euros de dividendes à ses actionnaires.
Climat, extinction des espèces… Depuis un siècle, on chante l’apocalypse, du blues à « We Are The World », de Johnny à Radiohead.
Fin du monde. Chaque midi, « Les Jours » vous offrent une mauvaise nouvelle. Aujourd’hui, la Louisiane rétrécit.
Fin du monde. Chaque vendredi midi, « Les Jours » vous parlent effondrement et culture. Aujourd’hui, deux romans de solitude.
Fin du monde. Chaque midi, « Les Jours » vous offrent une mauvaise nouvelle. Aujourd’hui, un gros paquet d’argent sale.
Fin du monde. Chaque midi, « Les Jours » vous offrent une mauvaise nouvelle. Aujourd’hui, les dangers de la soute.
Fin du monde. Chaque vendredi midi, « Les Jours » vous parlent effondrement et culture. Aujourd’hui, une BD d’Émile Bravo.
Fin du monde. Chaque midi, « Les Jours » vous offrent une mauvaise nouvelle. Aujourd’hui, du pétrole dans les champs.
Fin du monde. Chaque vendredi midi, « Les Jours » vous parlent effondrement et culture. Aujourd’hui, un film nord-irlandais.
Fin du monde. Chaque midi, « Les Jours » vous offrent une mauvaise nouvelle. Aujourd’hui, un gaz qui fait boom.
Fin du monde. Chaque midi, « Les Jours » vous offrent une mauvaise nouvelle. Aujourd’hui, l’aveuglement face à l’or noir finissant.
Fin du monde. Chaque vendredi midi, « Les Jours » vous parlent effondrement et culture. Aujourd’hui, un roman d’Emily St. John Mandel.
Fin du monde. Chaque midi, « Les Jours » vous offrent une mauvaise nouvelle. Aujourd’hui, un séisme dans la chaîne alimentaire.
Fin du monde. Chaque vendredi midi, « Les Jours » vous parlent effondrement et culture. Aujourd’hui, un film de Sébastien Marnier.
Fin du monde. Chaque midi, « Les Jours » vous offrent une mauvaise nouvelle. Aujourd’hui, le pétrole au Texas.
Fin du monde. Chaque vendredi midi, « Les Jours » vous parlent effondrement et culture. Aujourd’hui, un roman de Jean Hegland.