
Raffinerie Total, papeterie… Syndicalistes et écolos inventent ensemble un futur où la transition crée des emplois. Pas le contraire.
Raffinerie Total, papeterie… Syndicalistes et écolos inventent ensemble un futur où la transition crée des emplois. Pas le contraire.
Malgré vingt ans de combat, ce satané sac est loin d’être éradiqué : plastiqueurs et États trichent. Et le Covid-19 n’arrange rien.
En quarante ans, la filière n’a jamais décollé. Normal, c’est une diversion de l’industrie pour déculpabiliser les consommateurs.
Bisphénols, PFAS, phtalates… L’industrie est à la manœuvre pour sauver ces substances toxiques, indissociables de sa matière chérie.
Malgré les preuves scientifiques, l’industrie continue tranquillement de nier la dangerosité de sa matière.
Le plastique est en passe de devenir le débouché principal de l’hyper-polluante industrie pétrolière. Et tant pis pour la planète.
Niant son impact sur la santé et l’environnement, les lobbies du secteur défendent bec et ongles leur matière chérie.
Écologie ou pandémie, peu importe, l’industrie grossit, grossit, grossit… « Les Jours » fondent sur les géants du secteur. Boom !
Après le « Journal de quarantaine », « Les Jours » continuent à rassembler les infos essentielles sur la crise. En accès libre.
Le secteur crie que la pandémie pourrait le tuer. La faute au pétrole bradé et à l’effondrement de la demande. Tant pis pour le climat.
Tout au long de l’épidémie, « Les Jours » rassemblent les informations essentielles sur le coronavirus. En accès libre.
Malgré la « modération » demandée par l’exécutif, le groupe pétrolier verse 1,8 milliard d’euros de dividendes à ses actionnaires.
Climat, extinction des espèces… Depuis un siècle, on chante l’apocalypse, du blues à « We Are The World », de Johnny à Radiohead.
Fin du monde. Chaque midi, « Les Jours » vous offrent une mauvaise nouvelle. Aujourd’hui, la Louisiane rétrécit.
Fin du monde. Chaque vendredi midi, « Les Jours » vous parlent effondrement et culture. Aujourd’hui, deux romans de solitude.
Fin du monde. Chaque midi, « Les Jours » vous offrent une mauvaise nouvelle. Aujourd’hui, un gros paquet d’argent sale.
Fin du monde. Chaque midi, « Les Jours » vous offrent une mauvaise nouvelle. Aujourd’hui, les dangers de la soute.
Fin du monde. Chaque vendredi midi, « Les Jours » vous parlent effondrement et culture. Aujourd’hui, une BD d’Émile Bravo.
Fin du monde. Chaque midi, « Les Jours » vous offrent une mauvaise nouvelle. Aujourd’hui, du pétrole dans les champs.
Fin du monde. Chaque vendredi midi, « Les Jours » vous parlent effondrement et culture. Aujourd’hui, un film nord-irlandais.
Fin du monde. Chaque midi, « Les Jours » vous offrent une mauvaise nouvelle. Aujourd’hui, un gaz qui fait boom.
Fin du monde. Chaque midi, « Les Jours » vous offrent une mauvaise nouvelle. Aujourd’hui, l’aveuglement face à l’or noir finissant.
Fin du monde. Chaque vendredi midi, « Les Jours » vous parlent effondrement et culture. Aujourd’hui, un roman d’Emily St. John Mandel.
Fin du monde. Chaque midi, « Les Jours » vous offrent une mauvaise nouvelle. Aujourd’hui, un séisme dans la chaîne alimentaire.
Fin du monde. Chaque vendredi midi, « Les Jours » vous parlent effondrement et culture. Aujourd’hui, un film de Sébastien Marnier.
Fin du monde. Chaque midi, « Les Jours » vous offrent une mauvaise nouvelle. Aujourd’hui, le pétrole au Texas.
Fin du monde. Chaque vendredi midi, « Les Jours » vous parlent effondrement et culture. Aujourd’hui, un roman de Jean Hegland.