L’organisme public sera financé via une contribution obligatoire de tous les acteurs du secteur. Les plateformes enragent, Spotify et Deezer en tête.
L’organisme public sera financé via une contribution obligatoire de tous les acteurs du secteur. Les plateformes enragent, Spotify et Deezer en tête.
Une taxe ou une contribution volontaire ? Controversée, la seconde piste est à l’étude pour boucler le budget du Centre national de la musique.
Injures et règlements de comptes : le financement du CNM vire au vaudeville. Et à la fin, c’est Bercy qui décidera si les plateformes sont taxées.
Soutenue par Universal, la plateforme va changer son mode de rémunération, scrutant le lien avec les fans plus que le pur volume de streams. Une bascule.
Sous les recommandations (3/4). Pour construire leurs collections musicales, les auditeurs ont apprivoisé la recommandation.
Sous les recommandations (2/4). Pour mieux le conseiller, les plateformes cherchent à cerner l’auditeur, cet être changeant et mystérieux.
Sous les recommandations (1/4). Tout le monde pense que les machines de Spotify ou Deezer enferment l’auditeur dans ses goûts. On a vérifié.
Dans son rapport sorti ce lundi, le Centre national de la musique admet que la fraude des plus gros échappe encore aux plateformes.
Spotify a suspendu des chansons de Vitaa pour punir son label qui, comme beaucoup, joue un rôle trouble dans la manipulation des écoutes.
Info « Les Jours ». L’obstruction du géant suédois fragilise sérieusement l’étude sur la fraude que mène le Centre national de la musique.
Face au cercle vicieux des fausses écoutes qui biaise la distribution des revenus, les acteurs de la musique se mobilisent plus ou moins.
Certaines playlists d’utilisateurs monnayent la mise en avant d’artistes en manque de visibilité. Une fraude qui contribue aux fake streams.
Fermes à clics, comptes zombies, camouflage… Les techniques des tricheurs se professionnalisent. Les plateformes tentent de suivre.
30 % des écoutes des nouveautés musicales françaises seraient des faux destinés à gonfler les classements. Enquête.
Bien qu’elle s’abrite toujours derrière son statut d’hébergeur, la plateforme fait le tri : elle garde Joe Rogan mais bannit Alain Soral.
Pour dénoncer des propos antivax dans un podcast, le rockeur quitte la plateforme… qui n’en a cure. Le désamour avec les artistes s’aggrave.
À l’écart de Spotify, de nouvelles plateformes réinventent le lien entre les artistes et leur public. Plus proche et plus rémunérateur.
Le système du « user centric » est censé mieux partager le butin des écoutes. Le Centre national de la musique vient de faire les comptes.
Pour exister sur les plateformes de streaming, il faut le temps, l’argent et l’envie. Pas évident pour les petites maisons de disques.
Si les plateformes sont dans le viseur, les labels jouent aussi un rôle majeur dans la rémunération des artistes, jugée trop faible.
Entre musiciens et plateformes, c’était un mariage de raison, c’est désormais la rupture. Les histoires d’argent finissent mal…
Après le « Journal de quarantaine », « Les Jours » continuent à rassembler les infos essentielles sur la crise. En accès libre.
Après le « Journal de quarantaine », « Les Jours » continuent à rassembler les infos essentielles sur la crise. En accès libre.
Privés de live, les musiciens réclament un revenu décent aux plateformes et aux labels. Une brise de révolte souffle sur le secteur.
Entre le télétravail, les enfants et les infos, les plateformes sont désertées. « Les Jours » dévoilent les chiffres du crash.
Le samedi, « Les Jours » chroniquent une nouveauté et un disque en miroir. Aujourd’hui, une DJ sud-coréenne et une compilation house.
Le texte voté ce mardi par l’Europe va modifier la circulation de la culture en ligne, notamment sur YouTube. On vous explique tout.
La chercheuse Maria Eriksson pointe le déséquilibre flagrant entre les droits de l’utilisateur… et ceux que s’accorde la plateforme.
Bye-bye labels et distributeurs… La plateforme invite tous les amateurs à déposer leur musique sur ses serveurs. C’est un séisme.
Petits streams (6/6). La logique de la playlist force les labels à privilégier les œuvres courtes… ou à les découper. Une hérésie ?
Petits streams (5/6). Laissée pour compte du streaming, la musique classique tente de se frayer un chemin à l’ombre des hits.
Petits streams (4/6). Grand public, Spotify et Deezer sont et resteront perdues avec les musiques de niche. Vivement leurs rejetons.
Petits streams (3/6). Hors du rap, les longs formats ne font pas le poids face aux playlists. Au grand dam des labels indépendants.
Petits streams (2/6). Les plateformes savent manier les tubes, beaucoup moins les musiques underground. Et ça leur va bien comme ça.
Petits streams (1/6). Derrière le rap tout-puissant, de nombreux styles musicaux cherchent ce que le stream peut leur rapporter.
Dans son document d’entrée en bourse, déposé mercredi, la plateforme affiche son ambition de voler des auditeurs aux radios.
Pilier du nouveau monde sonore façonné par le streaming, la musique d’ambiance s’attaque désormais à votre inconscient.
Les musiques d’ambiance aseptisées prennent tant de place sur les plateformes que Spotify en fabriquerait en sous-main.
Sur Spotify ou Deezer, les playlists d’ambiance triomphent. Une consécration pour la musique pensée pour meubler le quotidien.
Sur les pas des radios commerciales, Spotify et Deezer enferment leurs auditeurs dans un univers limité et ultraconfortable.
Tubes en chaîne (4/4). Le boulot de « curation » de Délicieuse musique préfigure le monde de la musique de demain.
Tubes en chaîne (3/4). Les indépendants sont perdus et les médias pataugent. Les majors, elles, squattent les clics.
Tubes en chaîne (2/4). Si les êtres de chair et d’oreilles sont revenus au cœur de la création des sélections, c’est pour guider les robots.