Dans cet État conservateur, les classes populaires blanches sont minées par la pauvreté et les drogues dures. Ni Trump ni Harris ne représente un espoir.
Dans cet État conservateur, les classes populaires blanches sont minées par la pauvreté et les drogues dures. Ni Trump ni Harris ne représente un espoir.
Les quatre enfants retrouvés, c’est la fin de l’opération Esperanza en Colombie. Et le début des questions autour du père des deux plus jeunes…
Le 9 juin 2023, quarante jours après le crash de leur avion dans la jungle, les enfants sont retrouvés. Affamés et affaiblis, mais en vie. Un miracle.
Puisque les stratégies des militaires colombiens échouent depuis des semaines à retrouver les quatre enfants, autant suivre les méthodes des indigènes…
La mère et les quatre enfants disparus dans le crash de leur avion ont grandi dans une zone traversée par les guérillas, le narcotrafic… et les esprits.
Chaque jour, « Les Jours » publient les minutes d’un procès en correctionnelle de l’été 1973 à Paris. Aujourd’hui, du chanvre indien au Golf Drouot.
Chaque jour, « Les Jours » publient les minutes d’un procès en correctionnelle de l’été 1973 à Paris. Aujourd’hui, les 21 kilos de haschich.
Amnésie et complot : c’est la ligne de défense adoptée par les six policiers accusés de violences volontaires sur des jeunes de Pantin.
Des documents de l’IGPN obtenus par « Les Jours révèlent de nouvelles accusations contre la BTC Quatre-Chemins, dont le procès débute mercredi.
Entre manque de magistrats et affaires expédiées, « Les Jours » ont sillonné les tribunaux pour raconter les comparutions immédiates.
S’ils passent rarement devant la justice, les policiers et leurs comportements peuplent les dossiers de comparution immédiate.
Lors des audiences souvent expéditives de comparution immédiate, des prévenus malades sont parfois jugés comme s’ils ne l’étaient pas.
Insertion, soutien scolaire, culture… Ce sont les habitants eux-mêmes qui se démènent pour sortir leur cité du trafic de drogue.
En 2016, Rudy, 15 ans, est assassiné dans un règlement de compte sur fond de trafic de drogue à Marseille. « Les Jours » étaient au procès.
Le 25 juin, un « lieutenant » de la drogue est tué, déclenchant une vague d’assassinats. Généalogie d’un règlement de compte.
Chaque jour, les « charbonneurs », petites mains du trafic de drogue, défilent au tribunal correctionnel de Marseille. Reportage.
Dans les cités, les forces de l’ordre tentent d’endiguer le trafic à coups d’interpellations à la pelle et de « pilonnage » de dealers.
Depuis la mort de la chanteuse, des initiatives tentent de prendre en compte les souffrances psychiques dans le secteur. Enfin.
Ados, ils font le guet pour les dealers. Et, tel Rayanne, finissent exécutés dans les règlements de comptes entre clans marseillais.
Une flambée de violence dans les quartiers nord et Macron déboule. « Les Jours », eux, remontent la chaîne des stups.
Les dix jours d’audience n’ont pas réussi à lever toutes les zones d’ombre de ce gros coup de filet. Mais « Bylka » prend huit ans ferme.
Du terrain, des indics et de belles affaires… À l’audience, le policier tente de justifier ses méthodes de travail et nie tout racket.
Ce « baqueux » et cinq autres policiers parisiens sont jugés à partir de ce mercredi pour une affaire révélée par « Les Jours ».
Info « Les Jours ». Une confrontation s’est tenue lundi dans l’affaire de corruption qui implique des policiers parisiens.
Info « Les Jours ». L’IGPN a entendu en juillet cet Égyptien incarcéré pour détention de cocaïne, sur la foi d’un PV douteux.
Dans l’affaire de corruption à la BAC du XVIIIe, cinq policiers du même groupe sont poursuivis. L’enquête devra répartir les rôles.
Info « Les Jours ». Sept personnes sont désormais poursuivies dans cette affaire de corruption et de trafic de stupéfiants.
Dans ce quartier de Paris, les témoignages affluent sur les méthodes du policier incarcéré vendredi. Il avait déjà été signalé à l’IGPN.
Info « Les Jours ». Deux policiers de la BAC du XVIIIe arrondissement de Paris mis en examen pour trafic de stups et corruption.
Pour une histoire de famille, deux policiers ont fouillé le Fichier des personnes recherchées. Illégal : ils ont fini au tribunal.
Fin du monde. Chaque midi, « Les Jours » vous offrent une mauvaise nouvelle. Aujourd’hui, un cactus en pleine descente.
La brigade des stups quitte le quai des Orfèvres ; l’immersion du reporter s’achève. Le trafic de drogue, lui, est toujours là.
En garde à vue, le dealer nie en bloc. Sans savoir que, dans la pièce d’à côté, quelqu’un est en train de le balancer.
Après cinq mois d’enquête, c’est le grand jour : les policiers de la brigade des stups vont arrêter Omar le dealer.
Les enquêteurs de la brigade des stups suivent à la trace le dealer. Mais la filature ne se passe pas comme prévu…
Entre deux surveillances de dealers, les enquêteurs des stups embarquent le reporter au stand de tir.
Lors d’une soirée, le reporter en lâche un peu trop sur l’enquête de la brigade des stups, où il est en immersion.
Incognito, les enquêteurs passent la soirée dans un café pour surveiller Omar, le dealer, et identifier Gencive, son boss.
À coups de planques et filatures, le groupe Surdoses remonte la piste d’une grande famille de trafiquants de Seine-Saint-Denis.
Les overdoses sont des homicides involontaires. À chaque décès, son enquête. À Paris, c’est le groupe Surdoses qui s’y colle.
À Lille, les habitants du boulevard de Metz cohabitent avec les dealers. La police passe mais l’insécurité demeure.
Beaucoup d’élèves de Fontaineroux fument du cannabis. Les profs le savent. Alors le lycée pro a organisé un atelier de prévention.
Un soir de juillet 2014, 52 kilos de cocaïne disparaissent des locaux de la PJ parisienne…