C’est enfin l’heure des résultats pour les élèves suivis par « Les Jours » depuis deux ans, et l’heure du bilan pour la réforme covidée.
Son rôle dans la série.
C’est le maître des horloges de « Mounier ». À la rentrée 2019, il a prévenu les élèves, dont une partie vient du collège qu’il dirigeait auparavant : « Ceux qui me connaissent le savent, je ne plaisante pas avec les horaires. » Monsieur Sergi ne plaisante pas non plus avec la notion de service public : « Ma mission, c’est la même que lorsque j’étais enseignant, explique cet agrégé d’italien qui a débuté sa carrière dans l’académie d’Aix-Marseille. Il faut que mes élèves réussissent. Je n’ai pas de canon, on peut entendre qu’un gamin pas bon en maths n’ait pas envie d’en faire, du moment qu’il s’en sort. En tant que fonctionnaire, mon devoir, c’est de veiller à ce que l’école de la République offre le maximum à ses enfants. » À 53 ans, il reprend la direction du lycée Emmanuel-Mounier avec l’ambition de « redynamiser tout ça, de retrouver l’esprit des années 1970-1980 », lorsque l’établissement était l’un des laboratoires culturels du ministère de l’Éducation. « Je crois beaucoup à la culture, dit Joseph Sergi, encore plus aujourd’hui. » Un souvenir fort : s’être débrouillé, alors jeune prof dans les quartiers nord de Marseille, pour embarquer 69 gamins au musée des Offices de Florence.
Son rôle dans la série.
C’est le maître des horloges de « Mounier ». À la rentrée, il a prévenu les élèves, dont une partie vient du collège qu’il dirigeait auparavant : « Ceux qui me connaissent le savent, je ne plaisante pas avec les horaires. » Monsieur Sergi ne plaisante pas non plus avec la notion de service public : « Ma mission, c’est la même que lorsque j’étais enseignant, explique cet agrégé d’italien qui a débuté sa carrière dans l’académie d’Aix-Marseille. Il faut que mes élèves réussissent. Je n’ai pas de canon, on peut entendre qu’un gamin pas bon en maths n’ait pas envie d’en faire, du moment qu’il s’en sort. En tant que fonctionnaire, mon devoir, c’est de veiller à ce que l’école de la République offre le maximum à ses enfants. » À 52 ans, il reprend la direction du lycée Emmanuel-Mounier avec l’ambition de « redynamiser tout ça, de retrouver l’esprit des années 1970-1980 », lorsque l’établissement était l’un des laboratoires culturels du ministère de l’Éducation. « Je crois beaucoup à la culture, dit Joseph Sergi, encore plus aujourd’hui. » Un souvenir fort : s’être débrouillé, alors jeune prof dans les quartiers nord de Marseille, pour embarquer 69 gamins au musée des Offices de Florence.
C’est enfin l’heure des résultats pour les élèves suivis par « Les Jours » depuis deux ans, et l’heure du bilan pour la réforme covidée.
Le redouté grand oral a commencé, sur fond de grève des profs de philo. Une fin d’année à l’image de la réforme Blanquer : foirée.
Pas évident de se préparer en distanciel à ce qui attend élèves de TG4 à leur retour au lycée Mounier : l’écrit blanc de philo.
Malgré le manque d’infos, le lycée Mounier de Grenoble se prépare pour le grand oral, seule épreuve du nouveau bac ayant résisté au Covid.
L’annulation des épreuves de spécialité est un bref répit pour le lycée Mounier, pris dans le casse-tête de la réforme et du coronavirus.
Bac Blanquer, Parcoursup, enseignement supérieur… Le compte à rebours est lancé pour les terminales du lycée Mounier à Grenoble.
Les lycées restent ouverts, annonce Jean-Michel Blanquer qui garde l’objectif de 50 % de cours à distance. À Grenoble, on tente de suivre…
Face au revirement de Jean-Michel Blanquer, le lycée Mounier a décidé de passer outre les instructions pour son hommage à Samuel Paty.
Au lycée où « Les Jours » sont installés, les profs disent leur désarroi et leur sentiment d’abandon après le meurtre de Samuel Paty.
Corps changés, visages masqués et la réforme Blanquer toute l’année. « Les Jours » font leur rentrée en terminale G4 au lycée Mounier.
Jeudi, Jean-Michel Blanquer a mis fin au suspense et annulé l’oral de français. Une pilule douce-amère pour le lycée Mounier, à Grenoble.
Épreuves du bac en suspens, conseil de classe virtuel : le coronavirus s’invite dans une année déjà mouvementée pour la 1ère G4.
Réforme du bac, « devoir de réserve », postes rognés, classes surchargées… Les profs du lycée Mounier à Grenoble ouvrent les vannes.
Réforme du bac, choix de carrière et bavardages : c’est l’heure de la rencontre parents-profs pour la 1ère G4 du lycée Mounier.
Ces nouvelles épreuves cristallisent la colère avec des appels à la grève. Au lycée Mounier, elles débutent ce mardi. Enfin, normalement.
L’année s’achève sur un plateau-repas (un peu) festif pour les 1ères G4 alors que se dessinent déjà les épreuves de contrôle continu.
Entre choix des options, premiers exams et exercice attentat, les premières du lycée Mounier, à Grenoble, ont l’angoisse au ventre.
Choisir des cours en plus ? Avec le nouvel examen, ça ne paye plus, constatent parents et élèves du lycée Mounier, à Grenoble.
Le nouveau bac a chamboulé les livres scolaires au point qu’au lycée Mounier, à Grenoble, certains ne sont pas encore arrivés. Galère.
Épreuves, calendrier, coefs : les profs du lycée Mounier, à Grenoble, ont tenté de briefer les familles sur la nébuleuse réforme.
Au lycée Mounier, à Grenoble, les élèves suivis par « Les Jours » apprennent à se connaître et se familiarisent avec le nouveau bac.